Publié le 9 octobre 2019 par : M. Descoeur, M. Straumann, M. Bazin, Mme Bazin-Malgras, Mme Anthoine, Mme Corneloup, M. Grelier, M. Abad, M. Cattin, M. Ramadier, M. Hetzel, M. Bony, M. Saddier, Mme Bassire, M. Brun, M. Viala, Mme Lacroute, M. Forissier, M. Bouchet, M. Menuel, M. Sermier, Mme Bonnivard, Mme Le Grip, M. Reiss, Mme Valentin.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après diffusion en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale.
Il est reconnu que les enfants témoins de violences conjugales ont autant de troubles psychologiques que les enfants qui ont été victimes de violences. Il est alors indispensable d’assurer qu’un suivi psychologique soit proposé aux victimes et témoins de violences au sein de leur famille. 50 % des jeunes délinquants ont vécu dans un milieu familial violent dans l’enfance. 40 % à 60 % des hommes violents envers leur conjointe ont eux-mêmes été exposés aux violences conjugales. D’où la nécessité de prise en charge systématique et gratuite des enfants traumatisés ou à la charge des auteurs.
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