Publié le 21 octobre 2019 par : M. Aviragnet, Mme Bareigts, Mme Biémouret, Mme Vainqueur-Christophe, M. Vallaud, Mme Rabault, Mme Battistel, M. Bouillon, M. Jean-Louis Bricout, M. Carvounas, M. Alain David, Mme Laurence Dumont, M. Faure, M. Garot, M. David Habib, M. Hutin, M. Juanico, Mme Karamanli, M. Jérôme Lambert, M. Letchimy, Mme Manin, Mme Pau-Langevin, Mme Pires Beaune, M. Potier, M. Pueyo, M. Saulignac, Mme Tolmont, Mme Untermaier, Mme Victory.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après diffusion en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale.
Cet amendement du groupe socialistes et apparentés propose que le nombre maximal d’allocations journalières versée pour l’ensemble de sa carrière soit fixé par décret plutôt qu’arrêté à 70 jours tel que c’est le cas aujourd’hui.
En effet, 70 jours sur l’ensemble d’une carrière nous paraît très faible par rapport aux besoins exprimés des aidants. Il nous aurait semblé plus adapté de fixer une durée d’indemnisation alignée sur la durée du congé proche aidant lui même à savoir un an.
Imaginez, seulement 70 jours sur l’ensemble d’une carrière pour avoir davantage de temps à consacrer à un époux dialysé ou à une épouse souffrante d’un cancer, c’est très peu.
C’est pourquoi nous proposons que le Gouvernement fixe cette durée maximale d’indemnisation par décret et nous l’invitons à se baser sur la référence d’un an au lieu de 70 jours actuellement.
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