Système universel de retraite — Texte n° 2623
Amendement N° CSRETRAITE547 (Rejeté)
(61 amendements identiques : CSRETRAITE22116 CSRETRAITE3511 CSRETRAITE3517 CSRETRAITE3512 CSRETRAITE3516 CSRETRAITE3510 CSRETRAITE3520 CSRETRAITE3521 CSRETRAITE3518 CSRETRAITE3513 CSRETRAITE3515 CSRETRAITE21086 CSRETRAITE3523 CSRETRAITE3514 CSRETRAITE3509 CSRETRAITE3519 CSRETRAITE3524 CSRETRAITE3522 CSRETRAITE3525 487 945 3962 8863 8984 8985 8987 8988 9057 9058 9059 9060 9112 9113 9114 9116 9117 9119 9122 9123 11844 11845 12258 26744 30950 30951 30952 30953 30954 30955 30956 30957 30958 30959 30960 30961 30962 30963 30964 30965 30966 40008 )
Publié le 3 février 2020 par : M. Dharréville, M. Jumel, Mme Bello, M. Brotherson, M. Bruneel, Mme Buffet, M. Chassaigne, M. Dufrègne, Mme Faucillon, Mme Kéclard-Mondésir, M. Lecoq, M. Nilor, M. Peu, M. Fabien Roussel, M. Serville, M. Wulfranc.
Supprimer cet article.
Exposé sommaire :
L’article 3 prévoit que le système universel de retraite s’applique aux 20 millions d’assurés du régime général, c’est à dire aux salariés du privé comme aux contractuels de la fonction publique.
Au lieu d’un calcul sur la base des 25 meilleures années, la retraite sera calculée sur l’ensemble de la carrière. Dans ce système, les mauvaises années se répercuteront mécaniquement sur le droit à la retraite avec des pensions rabotées. Ils subiront un âge d’équilibre de 65 ans en 2037 qui évoluera en fonction de l’espérance de vie.
Cette individualisation du droit à la retraite est profondément injuste. Elle fait supporter aux salariés les risques en les rendant responsables leur seul sort.
Nous y sommes fortement opposés.
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