Publié le 26 février 2021 par : M. Vatin, M. Vialay, M. Bouley, Mme Audibert, Mme Corneloup, M. Ramadier, M. Jean-Pierre Vigier, M. Pierre-Henri Dumont, M. Quentin, Mme Meunier, M. Bourgeaux, M. Hemedinger, M. Perrut, M. Menuel, M. Grelier, M. Jean-Claude Bouchet, Mme Bazin-Malgras, Mme Anthoine, M. Dive, M. Ravier, M. Bony, Mme Boëlle, Mme Trastour-Isnart, M. Sermier, Mme Bouchet Bellecourt.
Après la première phrase du deuxième alinéa de l’article L. 551‑1 du code de l’éducation, est insérée une phrase ainsi rédigée :
« Le projet éducatif territorial vise également à sensibiliser les élèves au fonctionnement des espaces naturels proches et aux activités de gestion, de protection et de valorisation qui y sont menées, ainsi qu’à la biodiversité. »
L’article L. 551‑1 évoque les objectifs des activités périscolaires. Les activités humaines et le changement climatique en cours marquent une pression croissante sur les écosystèmes. La sixième extinction massive de la biodiversité est reconnue. Il est donc indispensable que les élèves apprennent à reconnaître les espaces naturels et la biodiversité des écosystèmes proches que nous devons tous préserver.
Cet amendement a pour objectif de renforcer l’éducation à la nature des élèves grâce aux activités périscolaires. Le temps périscolaire est en effet l’occasion de mener des actions de sensibilisation des élèves en lien avec les collectivités locales, les associations naturalistes locales et les professionnels responsables de la gestion et de la préservation des espaces verts, des cours d’eau et des forêts. Aussi, la rencontre d’acteurs locaux et les sorties sur sites sont des événements marquants dans le parcours des élèves et constituent des outils d’apprentissage majeurs.
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