Publié le 1er avril 2021 par : Mme Lorho.
Supprimer cet article.
Les personnes n’étant plus en mesure d’exprimer leurs dernières volontés ne peuvent être jugées aptes à décider de l’orientation que doit prendre la fin de leur existence. Il ne revient pas au médecin, ou à un tiers, de décider pour elle l’issue qu’elle doit donner à sa vie. Le recours aux mentions des directives anticipées est peu souhaitable, en ce que la volonté de mourir qui y a été exprimée préalablement peut être amenée à changer. Cet article inacceptable doit être supprimé.
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