Publié le 19 mars 2018 par : M. Kervran, M. Chalumeau, M. André, M. Anglade, M. Ardouin, M. Bachelier, M. Baichère, M. Batut, M. Blanchet, Mme Bono-Vandorme, Mme Bureau-Bonnard, Mme Françoise Dumas, M. Fiévet, M. Folliot, Mme Fontenel-Personne, M. Gassilloud, Mme Gipson, M. Gouffier-Cha, M. Gouttefarde, Mme Guerel, M. Jacques, Mme Janvier, Mme Khedher, Mme Lardet, M. Larsonneur, M. Le Gac, M. Lejeune, M. Marilossian, Mme Mauborgne, Mme Mirallès, Mme Pouzyreff, M. Rouillard, M. Solère, Mme Thillaye, Mme Trisse, M. Trompille, Mme Valetta Ardisson, M. Ferrand, les membres du groupe La République en Marche.
Substituer à la deuxième phrase de l'alinéa 68 les deux phrases suivantes :
« En outre, le recours à l'intelligence artificielle vise à améliorer la sécurisation, le traitement et l'exploitation des flux d'informations en croissance exponentielle. Essentielle dans le traitement de données de masse, l'intelligence artificielle complète le travail humain effectué pour recueillir et traiter le renseignement ».
L'intelligence artificielle est utilisée pour le traitement de données en masse et la formulation qui confère un rôle prépondérant au travail humain dans le traitement du renseignement paraît trop restrictive.
Le présent amendement reprécise l'articulation entre les deux techniques de traitement des données (traitement humain et automatisé) afin de ne pas brider l'utilisation de l'intelligence artificielle qui aide par exemple les services de renseignement à faire remonter les informations les plus pertinentes.
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