cosignée par Edith Audibert, Nathalie Bassire, Thibault Bazin, Valérie Bazin-Malgras, Philippe Benassaya, Anne-Laure Blin, Sandra Boëlle, Bernard Bouley, Fabrice Brun, Jacques Cattin, Dino Cinieri, Pierre Cordier, Marie-Christine Dalloz, Fabien Di Filippo, Éric Diard, Nicolas Forissier, Claude de Ganay, Annie Genevard, Philippe Gosselin, Claire Guion-Firmin, Yves Hemedinger, Michel Herbillon, Patrick Hetzel, Brigitte Kuster, Charles de la Verpillière, Véronique Louwagie, Olivier Marleix, Frédérique Meunier, Éric Pauget, Bernard Perrut, Bérengère Poletti, Nathalie Porte, Didier Quentin, Julien Ravier, Frédéric Reiss, Jean-Luc Reitzer, Raphaël Schellenberger, Laurence Trastour-Isnart, Arnaud Viala, Jean-Pierre Vigier & Stéphane Viry
Mesdames, Messieurs, Rappelons tout d’abord que la dette publique est l’ensemble des emprunts qui pèsent sur un État, mais aussi ses collectivités, les entreprises et organismes publics (type Sécurité sociale). Pour la rembourser, l’État paie les intérêts chaque année et le capital à échéance du prêt.
Ces emprunts ont des termes à un an (court), ou jusqu’à dix ans (moyen), parfois même au‑delà (long) jusqu’à trente ou cinquante ans.
La dette publique de la France devrait atteindre, pour 2020, 119,8 % du produit intérieur brut (la production de richesse par les acteurs à l’intérieur d’un pays), soit 2 438,5 milliards d’euros.
Elle a ainsi fortement augmenté. Ce taux d’endettement a des conséquences réelles sur l’économie nationale.
En montant, elle représenterait l’équivalent de près de 40 000 euros par Français.
C’est d’abord une barre symbolique, voire un cap psychologique : la dette publique dépasse la richesse nationale...
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