Les amendements de François Pupponi pour ce dossier
28 interventions trouvées.
Ma question s'adresse à Mme la secrétaire d'État chargée de l'éducation prioritaire. Depuis la rentrée de septembre, les enfants n'ont jamais cessé d'aller à l'école. Tout a été fait, au niveau du protocole sanitaire comme de la mobilisation des personnels, pour que les classes restent ouvertes. Je veux saluer cet engagement car l'accès à l'é...
Madame la secrétaire d'État, je sais que nous partageons la même préoccupation pour ces quartiers et voulons à tout prix offrir une perspective à notre jeunesse. Quelles mesures prévoyez-vous pour les plus jeunes dans ces territoires ? Lorsque la réouverture des structures extrascolaires sera possible, comment envisagez-vous de les accompagner ...
Monsieur le Premier ministre, notre assemblée examine depuis plusieurs semaines, en commission et maintenant en séance publique, le projet de loi confortant le respect des principes de la République, un texte qui était attendu et qui apporte des réponses fortes pour lutter contre l'islamisme et le séparatisme. Moi qui mets en garde depuis de no...
Ma question s'adresse au ministre de l'Europe et des affaires étrangères. Depuis maintenant trois jours, la région du Haut-Karabagh – l'Artsakh, de son nom arménien – est sous le feu d'une très violente agression militaire de l'Azerbaïdjan, d'une ampleur inédite depuis la fin de la guerre en 1994. Cette province arménienne fut, vous le savez, ...
Après de violents pogroms anti-arméniens dans les principales villes d'Azerbaïdjan, et à la suite de la proclamation de l'indépendance du Haut-Karabagh lors de la chute de l'Union soviétique, les Arméniens ont dû lutter à nouveau pour leur survie, entre 1991 et 1994, sur ce petit territoire montagneux aux confins de l'Arménie. Facteur extrêmem...
Il est indispensable que la France s'engage sans délai pour faire cesser l'agression de l'Azerbaïdjan et de la Turquie, pour permettre un retour à la table des négociations des représentants du Haut-Karabagh signataires de l'accord de cessez-le-feu de 1994, et pour appuyer la reconnaissance du droit à l'autodétermination du Haut-Karabagh et la ...
Quelles initiatives prendrez-vous en ce sens ? Par ailleurs de nombreuses collectivités locales françaises ont signé des chartes d'amitié avec des villes de l'Artsakh. Dans le contexte actuel, elles enverront bientôt des aides alimentaires, des médicaments et du matériel médical à destination des populations durement touchées. J'espère que, ce...
Monsieur le Premier ministre, ma question fera écho à celle de mon collègue Peu, mais avec une différence notable. Le Val-d'Oise, avec presque 1 500 morts, hôpitaux et EHPAD compris, est un des territoires les plus touchés par l'épidémie. Lors de votre allocution, le 28 mai dernier, il était même le dernier département métropolitain en « rouge ...
Je partage tout à fait votre avis, monsieur le Premier ministre : nous devons organiser les choses. Mais il est urgent de le faire : le 11 mai arrivera dans un peu plus de trois semaines. D'ici là, nous devons évidemment savoir comment nous organiser dans les territoires. Pour prendre un exemple très précis, si certaines écoles rouvrent le lun...
Ma question s'adresse à M. le ministre de l'économie et des finances. Nous nous apprêtons à examiner un deuxième budget rectificatif, qui doit adapter les dispositifs d'urgence d'aide aux entreprises. Nous l'avions dit, ces dispositifs sont nécessaires, mais nous avons aussi relevé la faiblesse de certaines enveloppes et pointé des manquements....
Monsieur le Premier ministre, la semaine dernière, à Béziers, un mineur délinquant récidiviste est soupçonné d'avoir incendié l'école de son quartier. Ce week-end, à Chanteloup-les-Vignes, une bande de criminels – je dis bien des criminels – très organisée a incendié un équipement culturel et monté un guet-apens contre les policiers et les pomp...
Je vous le dis sincèrement : je n'ai jamais aimé le terme de « reconquête républicaine », que vous avez employé, car, dans ces quartiers, les élus, les associations et les habitants n'ont jamais abandonné la République.
Monsieur le ministre de l'intérieur, jeudi matin, au coeur de la préfecture de police de Paris, s'est produit l'impensable, l'inimaginable, l'inexcusable : quatre policiers ont été tués et une policière gravement blessée par un des leurs, animé par la haine et l'islamisme radical. En ces circonstances si dramatiques, les députés du groupe Liber...
Monsieur le ministre, je suis élu de l'Est du département du Val-d'Oise, là où une partie du drame s'est jouée. Je connais particulièrement bien les réseaux de radicalisation qui oeuvrent dans ces territoires et les gangrènent. Ces réseaux, je les affronte souvent seul dans l'indifférence générale et la passivité de certains. Monsieur le minis...
Monsieur le secrétaire d'État, je connais votre implication dans la lutte antiterroriste. Nous avons eu l'occasion de travailler ensemble, en particulier à Marseille. Ma question était simple ; elle ne mettait pas en cause les services de renseignement. L'imam dont nous parlons a fait l'objet, en 2015, d'une OQTF. C'est purement factuel. Cette ...
Cela ne doit plus jamais arriver. La question est posée : comment est-il possible qu'un imam radicalisé qui fait l'objet d'une OQTF ne soit pas renvoyé à la frontière ?
Monsieur le Premier ministre, samedi dernier, la France, abasourdie, a découvert le visage de la haine antisémite, avec ce déferlement d'injures contre Alain Finkielkraut. Malheureusement, je n'ai pas été surpris par ces images : j'ai été maire de Sarcelles pendant vingt ans et, pour bien connaître la communauté juive de France, je sais que les...
Monsieur le ministre de l'éducation nationale, à l'heure où le terrorisme islamiste a de nouveau frappé notre pays, à une époque où l'on peut encore être assassiné en France parce qu'on est juif, l'enseignement de la tolérance et des valeurs républicaines est plus important que jamais. Or notre système éducatif compte de plus en plus de pépiniè...
Dans certains territoires, des écoles non déclarées s'ouvrent même parfois en toute impunité. Je connais l'attachement d'un grand nombre de mes collègues à la liberté de l'enseignement, et je le partage. De nombreuses écoles ne posent aucun problème. Cependant, voilà la triste réalité : de manière croissante, des réseaux salafistes voire djiha...
Monsieur le ministre, ne pensez-vous pas que nous devons faire tout notre possible pour préserver une partie de notre jeunesse de l'endoctrinement par sa déscolarisation vers des structures aux desseins mortifères ? Quels citoyens ces jeunes seront-ils dans dix ans ? Monsieur le ministre, l'heure est grave et l'enjeu est immense.