Les amendements de Josiane Corneloup pour ce dossier
43 interventions trouvées.
Ma question s'adresse à M. le ministre délégué chargé des petites et moyennes entreprises. J'ai récemment reçu des artisans de ma circonscription. Tous sont excédés, découragés. Ils aimeraient que le Gouvernement prenne enfin en considération leurs légitimes demandes. Quel que soit leur corps de métier, ils font face à de multiples difficultés ...
Ma question s'adresse à M. le Ministre des solidarités et de la santé. La situation de notre système hospitalier est grave et elle inquiète l'élue d'un territoire rural que je suis. Dans ma circonscription, et plus largement en Saône-et-Loire, je suis alertée par des élus, des médecins, des personnels soignants et des directions d'hôpitaux qui...
Monsieur le Premier ministre, jamais notre vie démocratique n'avait été en butte à un tel chaos logistique, à un fiasco pareil à celui de ces scrutins régionaux et départementaux. Les professions de foi des candidats, censées informer de leur programme, de leur liste, n'ont pas été distribués à un grand nombre d'électeurs. Les deux prestataires...
On ne peut confier au moins-disant cette mission fondamentale, qui nécessite un vrai savoir-faire, une excellente connaissance du terrain, une parfaite maîtrise des réexpéditions temporaires ou définitives de courrier. Aujourd'hui, nombre d'électeurs et de candidats ressentent une colère légitime, car ce déni de démocratie a fait de notre pays ...
Monsieur le ministre des solidarités et de la santé, qualifier la campagne de vaccination de laborieuse s'apparente à une aimable litote tant la situation constatée dans tout le pays par les professionnels de santé et les Français accuse la désorganisation la plus complète et un manque criant de doses alors que seule la vaccination massive peut...
Or la France se classe à la vingt-deuxième place mondiale pour la première injection administrée, au sein d'une Europe sévèrement critiquée par l'OMS, qui juge « inacceptable » la lenteur de son processus de vaccination. Nous manquons aujourd'hui cruellement de vaccins : ils sont distribués avec une parcimonie telle que les professionnels de sa...
Les patients sont bien au rendez-vous, pas les vaccins ! Contrairement à ce que vous affirmez, monsieur le ministre, votre logistique vaccinale n'est pas une réussite. Non, elle ne marche pas « du feu de Dieu » ! Tous les jours, dans les cabinets des médecins libéraux, des infirmiers, des sages-femmes, depuis peu, des vétérinaires et des denti...
Il y a un an, le Président de la République reconnaissait que la crise des gilets jaunes l'avait obligé à changer d'attitude face aux Français ; il affirmait qu'il fonderait l'acte II de son quinquennat sur l'écoute et la proximité. Or, au vu du projet de déremboursement des médicaments homéopathiques, prévu dès le 1er janvier 2021, nous ne pou...
Cet oukase, qui obéit à des considérations plus dogmatiques que raisonnables, constitue une faute grave, car il remet en cause la liberté de se soigner des Françaises et des Français. Monsieur le ministre des solidarités et de la santé, en suivant la Haute Autorité de santé, vous faites fi des 72 % de Français qui font confiance à l'homéopathie...
Cela fait deux siècles que la médecine homéopathique procure de nombreux bienfaits à ses utilisateurs. Nos voisins allemands l'ont d'ailleurs bien compris, puisque votre homologue a fort opportunément décidé que les médicaments homéopathiques continueraient à être remboursés.
Du fait du déremboursement, se soigner par homéopathie en France coûtera plus cher. C'est une bien mauvaise nouvelle pour les foyers les plus modestes, particulièrement en ces temps où la pauvreté explose.
Monsieur le Premier ministre, à l'heure où les médecines complémentaires, dont fait partie l'homéopathie, jouent un rôle significatif dans le dispositif de santé ; parce qu'il faut préserver une liberté de soins pour tous les patients, riches ou pauvres ; parce que l'homéopathie répond à un réel besoin médical et procure un bénéfice majeur pour...
Vendredi dernier, j'étais aux côtés des éleveurs d'ovins, devant la préfecture de Saône-et-Loire, pour exprimer l'exaspération d'hommes et de femmes passionnés par leur métier, qui subissent depuis juin les attaques d'un seul loup, qui en l'espace de trois mois a tué 109 moutons de race charolaise. J'ai vu un éleveur, victime de plusieurs attaq...
Je souhaite appeler l'attention de M. le Premier ministre sur la catastrophe économique et financière qui risque d'anéantir une profession si rien n'est fait en sa faveur. En effet, seules les discothèques…
… font encore à ce jour l'objet d'une fermeture administrative, les cafés et restaurants ayant pu reprendre leur activité à partir du 2 juin sous réserve que les gestes barrières y soient strictement observés. J'ai reçu les gérants des discothèques de ma circonscription : selon eux, une réouverture le 21 septembre, ce que semble prévoir le Gou...
J'ai bien conscience que le virus est toujours là, mais force est de constater que la fermeture prolongée des discothèques a produit le contraire de l'effet recherché : les festivités clandestines se multiplient, organisées par l'intermédiaire de sites internet spécialisés ou des réseaux sociaux.
Des milliers de jeunes se réunissent lors de fêtes improvisées au cours desquelles aucune mesure de protection sanitaire n'est respectée. Au contraire, les gérants des établissements de nuit sont des professionnels responsables, parfaitement à même d'organiser des fêtes dans le strict respect des gestes barrières. Continuer de leur interdire de...
Ma question s'adresse à M. le premier ministre. Le vote est un droit mais aussi un devoir civique. Il est le fondement de notre démocratie. Comme le soulignait avec beaucoup de profondeur le Président Jacques Chirac en 2002, « le droit de vote, ce n'est pas l'expression d'une humeur, c'est une décision à l'égard de son pays, à l'égard de ses en...
Ma question s'adresse à Mme la ministre des solidarités et de la santé. Madame la ministre, vous affirmiez en avril que la grève aux urgences de plusieurs hôpitaux n'était pas due aux conditions de travail. Aujourd'hui, la moitié des services publics d'urgences sont en grève. Acculée par la colère croissante des personnels soignants, vous prés...
Loin de débloquer de nouveaux crédits, vous financez les douze mesures, bien floues, contenues dans votre plan – pour un total de 754 millions d'euros sur trois ans – en redéployant des moyens budgétaires déjà existants, prélevés sur d'autres services.