Les amendements de Patrick Hetzel pour ce dossier

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Vous ne pouvez pas les traiter de cette manière. Au moment où nous en sommes en France, cette très mauvaise manière faite à la recherche n'est pas d'un très bon augure.

Ma question s'adresse à M. le Premier ministre. Elle concerne la protection de nos concitoyens. La gravité du variant brésilien, plus contagieux et plus mortel, menace la France. Cependant, les voyageurs en provenance du Brésil ne font l'objet d'aucun contrôle spécifique. Devant le danger du variant brésilien, le Portugal, qui a pourtant des l...

Pire, l'impuissance de l'État et l'incapacité du Gouvernement à faire évoluer le droit pour protéger la population contre ce nouveau variant menacent d'anéantir treize mois d'efforts remarquables, ceux des soignants et ceux des Français, pour lutter contre le virus. Pour ne pas faire échouer notre politique vaccinale, la France doit temporairem...

Nous devons au minimum mettre en place un isolement strict pour nos ressortissants en provenance des pays où circule désormais un variant dangereux, ce que réclament déjà de nombreux scientifiques que je n'énumérerai pas ici.

Monsieur le Premier ministre, allez-vous, oui ou non, fermer les liaisons aériennes avec le Brésil pour protéger la population contre ce nouveau variant, quitte à faire évoluer le droit ?

Sur un sujet de cette importance, nous ne pouvons pas nous résoudre à l'impuissance publique dont vous faites, hélas, trop souvent preuve.

Vous voyez donc qu'il y a un sujet. Il serait pertinent de faire aussi ce que font les Anglais : il faut protéger nos concitoyens, et vous ne le faites pas suffisamment.

Ma question s'adresse directement à M. le Premier ministre. Après le fiasco des masques puis celui des tests, nous voici face au fiasco de la vaccination. C'est un cri unanime des professionnels de santé : la campagne de vaccination en France est hélas un modèle de désorganisation. Mais il y a plus grave encore. Considérés comme les fers de la...

Mes propos mettent cruellement en lumière la faiblesse de la politique de recherche de votre Gouvernement. Or, s'il est bien un domaine où nous devons défendre notre souveraineté, c'est celui de la recherche. La crise sanitaire accentue encore cette absence abyssale de politique de recherche. C'est désormais rien moins que la crédibilité de l'É...

Ma question est simple : quelle mesure comptez-vous enfin prendre pour que la France retrouve une politique de recherche digne de ce nom ? Ne vous dérobez pas, monsieur le Premier ministre.

Je veux avant tout m'associer à l'hommage que nous rendons collectivement à Samuel Paty, victime de la barbarie. Monsieur le Premier ministre, l'heure est grave. Un enseignant est un fonctionnaire, c'est un représentant de l'État, un pilier de notre République. En tant que chef du Gouvernement, vous vous devez de protéger tous les fonctionnair...

Il avait d'ailleurs prévenu sa hiérarchie et déposé plainte à la suite des menaces dont il faisait l'objet. Monsieur le Premier ministre, dès lors que la diffamation le concernant était avérée et connue de sa hiérarchie, pourquoi l'État n'a-t-il pas pris immédiatement l'initiative de lui accorder sa protection fonctionnelle ?

Pourquoi sa hiérarchie n'a-t-elle pas porté plainte au nom de l'État en même temps que lui ?

Monsieur le ministre, j'entends vos réponses, mais la question est grave : faites-vous le nécessaire pour systématiquement protéger les enseignants en pareille situation ? Faites-vous le nécessaire pour les soutenir ? Ils se sentent abandonnés. Il y a des discours ; désormais, nous attendons des actes.

Monsieur le Premier ministre, la France n'est pas encore sortie de la crise du coronavirus et tout le monde est d'accord pour souhaiter que le « monde d'après » soit différent du « monde d'avant » ; on pouvait donc penser que l'annonce officielle de la reconstruction économique, écologique et solidaire par le Président de la République se tradu...

On peut et on doit tout d'abord s'interroger sur l'opportunité d'une deuxième lecture aussi précipitée, durant la session extraordinaire.

Alors que la période estivale débute, que le pays vit en état d'urgence sanitaire et que les conditions ne sont pas remplies pour un débat serein, il serait pertinent de repousser l'examen de cette question qui en appelle à l'intime en chacun d'entre nous.

Ce serait d'autant plus légitime que le Sénat ne siégera pas en septembre et qu'il n'y a donc aucune urgence à faire passer un tel texte au forceps en expédiant le débat. Cela ne serait absolument pas respectueux ni de notre assemblée ni de nos concitoyens. Accepteriez-vous, monsieur le Premier ministre, dans un souci d'apaisement, de concorde...

C'est une experte qui parle ! Elle était socialiste sous la précédente législature ! De 2012 à 2017, elle a voté pour tous les projets de loi de financement de la sécurité sociale !

Avant de débuter ma question, je tiens à féliciter les maires et les adjoints au maire qui ont déjà été élus et qui vont l'être dans les prochaines heures dans plus de 30 000 communes de France. Bonne chance à eux dans l'exercice de ce beau mandat de maire.