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...de ce type d'incident, comment on peut vraiment analyser la situation, sachant que les polluants qu'il faut regarder ne sont pas forcément les quatre éléments polluants que vous observez régulièrement, à savoir les particules fines PM10, l'ozone, le dioxyde d'azote et le dioxyde de soufre . Jugez-vous votre indice pertinent dans le cadre de Lubrizol ? Faut-il mettre en place des mesures complémentaires ? J'aimerais déjà que vous puissiez faire le point sur toutes celles que vous avez réalisées à partir du 26 septembre qui ne sont pas réalisées en temps normal. Pourriez-vous nous commenter les mesures spécifiques de long terme qu'il faudrait prendre et les modifications qu'il faudrait éventuellement apporter aux obligations des ATMO et notamment de ATMO Normandie, pour prendre en considératio...
Pensez-vous que le spectre des polluants qui sont analysés de manière traditionnelle pour le suivi de la qualité de l'air soit suffisamment étendu pour répondre à une situation exceptionnelle telle que celle que nous avons connue lors de cet incendie ? À quel moment la liste des produits qui ont brûlé vous a-t-elle été communiquée ? Au regard de cette liste, y aurait-il, selon vous, une surveillance spécifique à mettre en place et des polluants particuliers à rechercher, à court, moyen et long terme ?
... avez rappelé que les textes vous demandent d'avoir des indicateurs des particules fines, d'ozone, de dioxyde d'azote et de soufre. D'où cela vient-il ? Pourquoi ces quatre indicateurs ? Est-ce , comme vous l'avez dit tout à l'heure en présentant aux activités, lié plutôt au trafic en général ou à des types d'activités industrielles, par exemple ? Si vous pouvez donner cet indice dit de qualité d'air ou de pollution, c'est bien parce que vous avez fait des relevés et qu'il y a des seuils. Si on le fait tous les jours régulièrement, c'est bien parce que cela vient de l'activité humaine, en quelque sorte. Il y a un autre indice qui me semble essentiel, et le témoignage tout à l'heure de notre rapporteur me permet de souligner ce point, c'est une sorte d'indice de confiance. Pour que les habita...
M. le président aborde un point qui est essentiel. Vous observez quatre éléments qui permettent de calculer une qualité de l'air sauf qu'il peut arriver qu'il puisse y avoir un cinquième élément que vous n'observez pas et qui, à un moment donné, polluerait l'environnement sans que, finalement, personne ne soit au courant. Ce n'est pas forcément quelque chose que l'on avait à l'esprit. L'instruction de 2014 dont vous parlez, par qui a-t-elle été proposée ? Par l'État ou par l'un des quatre collèges ? Les canisters mesuren...
Ce qui nous est beaucoup dit, et peut-être allez-vous pouvoir nous aider à répondre à cette question, c'est : « comment pouvez-vous nous dire que la qualité de l'air est bonne ou identique à ce qu'elle est habituellement quand on voit le panache de fumée, quand on sent les odeurs ? ». Les arguments sont parfois difficiles à trouver. Par ailleurs, j'ai une petite inquiétude par rapport à ce que vous avez évoqué tout à l'heure, à savoir un nouveau polluant qui serait recherché d'ici le mois de février, et qui, en faisant une analyse plus fine, pourrait potenti...
...is tendance à penser que non. Vous devez vous retrouver dans d'autres régions de France. À ce moment-là, vous êtes-vous mise en relation avec ceux qui font le même travail dans ces autres régions et qui ont pu être confrontés, peut-être pas à des situations aussi graves que celles auxquelles vous êtes exposées aujourd'hui, mais qui en ont connu ? J'imagine que cette catastrophe permettra de nous faire grandir tous ensemble par l'expertise que vous apporterez. Dernier point, j'imagine que compte tenu de votre statut, les citoyens ont confiance en vous. D'ailleurs à d'autres reprises, vous avez fait part des contacts que vous aviez. Avez-vous le sentiment que la peur reste à un niveau très élevé ? Pensez-vous que la population commence à se sentir un peu moins isolée, totalement coupée, livrée ...
Une précision par rapport à ce que vous avez indiqué en répondant à la question des besoins d'équipement. Avez-vous les moyens des missions que vous voulez faire et bien faire ? Vous avez présenté tout à l'heure – et je vous en remercie – ATMO Normandie, ses collèges, mais aussi ses budgets. Quand vous présentez un plan d'équipement, dont on voit l'utilité avec l'épisode qu'on vient de vivre, êtes-vous suivis par ceux qui vous financent ?
J'entends à travers tout ce que vous nous expliquez une certaine zone d'incertitude sur la qualité de l'air les jours qui ont suivi l'incendie. Quelles seraient vos préconisations en termes de suivi pulmonaire ? Y a-t-il des choses à faire dans le suivi de la population ? Puisqu'on parle de l'air, je pense aux pathologies pulmonaires, quelles seraient vos préconisations dans ce domaine ?
Je vois qu'ATMO procède à des mesures du taux de particules dans l'air. Si le toit du lieu de stockage qui est fait en amiante avait été pulvérisé sous forme de particules fines, auriez-vous été à même de le mesurer, de caractériser la présence ou non de particules fines d'amiante ?
Bonjour à toutes et tous ! Nous accueillons aujourd'hui le général Philippe Lavigne, chef d'état-major de l'armée de l'air. Général, c'est avec un grand plaisir que nous vous accueillons aujourd'hui, quelques jours seulement après avoir célébré ensemble, sur la base aérienne de Saint-Dizier et en présence de la ministre, les 20 000 jours d'alerte nucléaire ininterrompue tenue par les forces aériennes stratégiques (FAS) depuis leur création, le 14 janvier 1964. Aujourd'hui, la composante aéroportée de notre dissuasio...
Général, merci pour cette mise à jour, un an après, de votre « plan de vol ». Je confirme, s'il en était besoin, à l'attention de mes collègues, que nous sommes toujours très bien accueillis sur les bases aériennes, que l'on soit rapporteur du budget de l'armée de l'air ou pas. Lors de mes deux dernières visites, mardi à Rochefort et jeudi à Salon-de-Provence, j'ai constaté de visu l'optimisation de la formation des aviateurs. Les smart schools ou les campus numériques restant parfois un peu ésotériques, il est intéressant de comprendre sur le terrain à quoi cela correspond et ce que cela peut apporter en termes de raccourcissement du cursus et d'attrait pour l...
Mon général, trois ans après la signature du contrat d'acquisition de trente-six Rafale par l'Inde, Dassault Aviation a livré mardi le premier Rafale à l'armée de l'air indienne lors d'une cérémonie à Mérignac. Les trente-six Rafale fabriqués en France seront livrés à l'Inde jusqu'en 2022 dans le cadre de l'accord intergouvernemental signé le 23 septembre 2016 entre la France et l'Inde. Cette première livraison d'une série de trente-six appareils symbolise l'excellence des relations entre la France et l'Inde. Trois Rafale sont déjà terminés mais ils ne rejoindro...
Mon général, je tiens à mon tour à vous remercier pour l'accueil qui nous a été réservé à Saint-Dizier, vendredi après-midi, et à vous dire combien nous avons apprécié les formidables démonstrations auxquelles nous avons assisté. La modernisation implique l'innovation. Le plan Air Innov 222 va dans ce sens. Avez-vous les moyens humains nécessaires pour le mettre en application ? Rencontrez-vous des difficultés à trouver les compétences nécessaires pour continuer à innover ? Pouvez-vous nous indiquer les avancées de ce programme ? Par ailleurs, je souhaiterais vous interroger sur l'indicateur qu'est le nombre d'heures de vol de vos pilotes. Quelle évolution est attendue en ...
Mon général, je voudrais vous interroger sur trois recommandations figurant dans le rapport relatif aux infrastructures du ministère des Armées. La première est l'intégration dans l'élaboration des politiques de MCO, notamment industrielles, des conséquences des infrastructures des services industriels de l'aéronautique (SIAé). Cela pose le problème des investissements nécessaires pour que les coûts d'intervention des SIAé soient compétitifs par rapport au privé, notamment en améliorant l'aménagement. Je pense particulièrement à des hangars en hygrométrie contrôlée qui permettraient une diminution sensible des problèmes de corrosion ou des pannes électroniques. Deuxième recommandation : fixer l'avenir de l'atelier industriel de l'aéronautique (AIA) d'Ambérieu dont les a...
Général, en 2020, l'armée de l'air va recevoir un système de drone Reaper et commander quatre drones européens de moyenne altitude et longue endurance. La presse s'est fait l'écho, ces derniers mois, des ambitions de la France dans ce domaine, la loi de programmation militaire prévoyant d'atteindre huit systèmes de drone MALE à l'horizon 2030. Au budget matériel s'ajoute le budget ressources humaines avec la qualification du perso...
Mon général, l'atelier industriel d'Ambérieu-en-Bugey touche ma circonscription. Je ferai donc part au personnel des propos élogieux que vous avez tenus à l'égard de cet établissement. Je vous poserai une question d'actualité, peut-être délicate. L'armée de l'air a-t-elle pris des mesures face aux risques de radicalisation ? Je ne pense pas que le risque y soit différent de celui qui peut exister dans les autres armées. Avez-vous défini une politique à cet égard ?
Général, dans un article du Figaro du 4 octobre dernier, les forces aériennes stratégiques sont définies comme formant la « plume » d'un « dialogue dissuasif » qu'elles seules peuvent rédiger, comme la composante visible de la dissuasion en opposition aux sous-marins lanceurs d'engins (SNLE). Chaque sortie, chaque exercice des FAS est une occasion d'adresser un message aux autres puissances militaires sur les capacités et l'efficacité de l'aviation française, qu'il s'agisse des exercices Poker, du chargement en temps réel imparti des missiles ou de l'exercice Excalibur qui permet de tester la précision d'un tir sans tête nucléaire. Pensez-vous que l'évolution de la dissuasion nucléaire doive entraîner l'évolution de ce dialogue dissuasif ? Dans l'affirmative, de quelle manière ?
...néral, le lien armée-nation est primordial pour l'avenir de notre armée. La base aérienne 105 d'Évreux accueille chaque année des jeunes collégiens et des lycéens pour les initier aux bases de l'aéronautique et leur permettre d'obtenir le brevet d'initiation aéronautique (BIA). Un pilote de Transall à la retraite, réserviste à la base aérienne 105 d'Évreux, est le référent BIA. Vingt-quatre volontaires militaires, pilotes, pompiers, contrôleurs aériens, mécaniciens, interviennent une fois par semaine auprès des élèves pour aborder les thèmes du brevet d'initiation aéronautique. La vocation créée, des jeunes se tournent vers l'armée et souhaitent alors s'engager pour devenir pilotes, avec une spécialité chasse, transport, drone ou hélicoptère. Le niveau de recrutement est le bac mais les cand...
Ma première question s'adresse au général de l'armée de l'air et « de l'espace », en espérant que les guillemets disparaissent rapidement. Dans vos ordres de priorité, où situez-vous la conception d'un drone spatial de type X-37B, sorte de couteau suisse de l'espace ? Ma seconde question s'adresse davantage à l'aviateur. La semaine prochaine doit se tenir à Toulouse un important sommet franco-allemand au sujet du SCAF. Certes, nous avons signé en 2019 un p...
Mon général, l'année dernière, je vous avais interrogé sur les partenaires européens potentiels pouvant être associés aux études d'architecture du SCAF. Vous avez rappelé que le SCAF était votre troisième priorité. Nous pouvons nous réjouir que l'Espagne ait récemment rejoint le couple franco-allemand dans le cadre du programme de démonstration technologique visant à créer des ruptures capacitaires dans le domaine de l'aviation de combat. Les travaux préparatoires son...