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Quels fonds pourraient financer un éventuel plan massif d'investissement dans la rénovation des réseaux d'eau et d'assainissement en Guadeloupe, et sous quelle forme ?
Selon vous, l'état actuel du réseau en Guadeloupe ne résulte donc pas d'une confusion entre les responsabilités des uns et des autres.
La Générale des eaux a-t-elle été défaillante dans l'entretien des réseaux en Guadeloupe ? Comment analysez-vous leur état actuel ?
De combien d'agents la police de l'eau en Guadeloupe dispose-t-elle ? Ses moyens humains et financiers actuels lui suffisent-ils pour mener à bien ses missions ?
Quelles sont aujourd'hui les plages impropres à la baignade en Guadeloupe ?
À qui attribuez-vous la responsabilité de la situation, qualifiée par vous d'indigne, de l'eau en Guadeloupe : à la Générale des eaux ou aux élus ?
Quels sont les acteurs du marché de l'eau brute en Guadeloupe ? À qui appartiennent les captages ? Comment sont-ils entretenus et comment cet entretien est-il financé ?
M. Ferdy Louisy, président du syndicat intercommunal d'alimentation en eau et d'assainissement de la Guadeloupe (SIAEAG), nous a déclarés lors de son audition : « Quand je regarde la facturation de Karukér'Ô relative à la vente d'eau brute, je me dis que, si nous avions su faire jouer le code des marchés publics et la concurrence, nous aurions peut-être eu des prix plus normaux […] quand je vois que le conseil départemental a annulé la créance de la régie eau Nord Caraïbes (RENOC) à hauteur de 4 million...
M. Amélius Hernandez a porté sous serment une accusation grave. Selon lui, la Générale des eaux payait M. Germain Paran, du comité de défense des usagers de l'eau de Guadeloupe.
Ne pourriez-vous pas envisager des réquisitions, sur le modèle de celles auxquelles a procédé votre prédécesseur face aux problèmes des coupures d'eau, pour traiter la situation catastrophique de l'assainissement en Guadeloupe ?
Après la présence désastreuse de la Générale des eaux en Guadeloupe, beaucoup de collectifs citoyens et d'associations ont dénoncé l'implantation progressive de Suez, et par là même, la remise d'un service public vital aux mains d'une multinationale.
Les coraux et les fonds marins sont abîmés et 50 % des eaux de baignades sont détériorées. Des risques existent de maladies dermatologiques et pour la santé en général. L'ARS affirme que, faute d'agir, dans dix ans, plus aucune eau de baignade en Guadeloupe ne sera de bonne qualité. N'estimez-vous pas qu'une urgence se présente ?
Si je vous comprends bien, pendant les cinquante ans de sa présence en Guadeloupe, la Générale des eaux a régulièrement alerté le délégant sur la nécessité, qui incombait à ce dernier, de renouveler les réseaux. Le SIAEAG est resté sourd à ces alertes, pour des raisons de démagogie politicienne, afin de maintenir un prix de l'eau bas.
Neuf pour cent des eaux de boisson ne sont pas de bonne qualité en Guadeloupe. Cela signifie-t-il qu'un usager ouvrant son robinet court une chance sur dix de ne pas y trouver une eau de qualité ? Ou la mauvaise qualité ne concerne-t-elle qu'un secteur limité ?
Impliquez-vous qu'il faille recruter le personnel encadrant du SMO hors de Guadeloupe ?
Pourriez-vous mettre en regard le pourcentage d'usagers, en Guadeloupe, ne disposant pas d'un service d'eau continu à l'époque de la Générale des eaux, avec le taux d'impayés ?
Quelles collectivités ne payaient pas leurs factures pendant votre présence en Guadeloupe ?
Depuis combien de temps exercez-vous en Guadeloupe ? Quel est le rendement de votre secteur ? Quel était-il lors de votre entrée en fonction ? Comment jugez-vous votre performance ?
Selon vous, la moitié des factures d'eau en Guadeloupe ne sont pas réglées.