Interventions sur "route"

430 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSacha Houlié :

Monsieur le secrétaire d'État, sans transition, parlons à présent d'une route, nationale cette fois-ci, mais qui a un intérêt départemental, ce qui ne manquera pas de vous intéresser en tant qu'ancien président de conseil départemental. Le 1er février dernier, le Conseil d'orientation des infrastructures a remis au Gouvernement un rapport relatif aux mobilités du quotidien. Ce rapport précise que les infrastructures sont un outil au service des mobilités, et qu'elles doiv...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDanielle Brulebois :

Pour sauver des vies, M. le Premier ministre a dit qu'il acceptait d'être impopulaire. Il a raison d'agir, en effet, puisque la mortalité sur les routes est repartie à la hausse, avec plus de 3 600 tués et 70 000 blessés par an. Néanmoins, sa mesure suscite beaucoup de mécontentement dans les départements ruraux comme le Jura. Elle est perçue comme pénalisante pour les habitants qui doivent accomplir de longs et fréquents trajets, notamment pour leur travail, dans un monde où tout s'accélère et où il faut se déplacer vite. Monsieur le secrétai...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarie-Pierre Rixain :

Monsieur le secrétaire d'État, je souhaite appeler votre attention sur une question récurrente : la situation d'un axe routier structurant de l'Essonne, la route nationale 20. Dans le département, elle traverse dix-huit communes, dont cinq de ma circonscription, et 40 % de l'ensemble du trafic routier passant par l'Essonne emprunte cette deux fois deux voies. Elle accueille jusqu'à 63 000 véhicules par jour, dont 11 000 poids lourds. Cet axe du réseau départemental essonnien contribue donc très significativement à la desserte du territoire. Si la RN 20 ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaValérie Beauvais :

Depuis quelques semaines, avec la publication des rapports Duron et Spinetta et la décision du Premier ministre de ramener la vitesse maximale autorisée à 80 kilomètresheure sur les routes à double sens sans séparateur central, la question des transports et des infrastructures est au coeur de l'actualité. Parmi les propositions formulées dans les rapports précités, certaines apparaissent opportunes pour tenir compte des enjeux de la mobilité de demain. C'est le cas de l'ouverture à la concurrence de la SNCF, de la modernisation des grands noeuds ferroviaires et de la rénovation d...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPierre Vatin :

Monsieur le secrétaire d'État, le Gouvernement a décidé d'abaisser la vitesse de 90 à 80 kilomètresheure sur les 400 000 kilomètres de routes nationales et départementales à double sens sans séparateur central. À propos d'une solution censée faire baisser la mortalité routière, le Premier ministre a dit qu'il ne le faisait pas « pour augmenter les recettes de l'État » et que « les recettes de cette mesure [seraient] reversées aux accidents de la route ». L'objectif serait donc exclusivement humanitaire, ce qui est malheureusement faux...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Luc Lagleize :

Monsieur le secrétaire d'État, mes questions portent sur la sécurité routière et la volonté forte du Gouvernement de lutter contre la mortalité sur nos routes, volonté que je partage évidemment. Tout d'abord, je souhaiterais que le Gouvernement apporte des justifications utiles sur les mesures prises par le dernier comité interministériel de la sécurité routière, notamment sur la mesure n° 5, visant à abaisser, à compter de juillet 2018, de 90 à 80 kilomètresheure la vitesse maximale autorisée sur certaines routes à double sens. Cette mesure a été ma...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBrahim Hammouche :

...untent par jour, dont 8 000 à 12 000 poids lourds. Il y a urgence à réaliser l'A 31 bis, devenue incontournable. En ma qualité de député, je suis porteur à la fois d'exigences locales et d'une vision nationale et européenne qui, loin de s'opposer, se nourrissent mutuellement. Ces exigences locales sont celles d'habitants inquiets d'un risque d'accidents accru du fait de la congestion de cette autoroute et celles de populations qui ne veulent pas payer la facture de l'urgence à agir, imputable aux incantations et aux atermoiements du passé. Ces exigences locales, monsieur le secrétaire d'État, sont celles d'une ville, Florange, qui ne veut pas être coupée en deux par une infrastructure routière. Ma vision, notre vision, monsieur le secrétaire d'État, est d'aménager ce territoire transfrontalier ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMichèle de Vaucouleurs :

Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, ma question porte sur l'entretien des routes nationales dont la dégradation devient très préoccupante. La France dispose d'un réseau routier étendu et extrêmement vaste, composé de 11 560 kilomètres d'autoroutes, dont 8 951 kilomètres d'autoroutes concédées et 9 645 kilomètres de routes nationales. Ce maillage routier est un véritable atout pour notre pays et permet à nos concitoyens de se déplacer en tout point du territoire. Pourtant sa ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJeanine Dubié :

Monsieur le secrétaire d'État, le 13 décembre dernier, dans le cadre d'une émission de France Inter consacrée aux transports et à la mobilité, Mme Élisabeth Borne, ministre chargée des transports, évoquait « des territoires où l'on avait fait des promesses de mise à niveau des routes nationales », promesses qui étaient « repoussées de contrat de plan en contrat de plan ». Elle précisait alors que cela appelait « des réponses de l'État pour désenclaver des régions privées de routes de bon niveau ». C'est précisément cette réponse de l'État que nous attendons s'agissant de la poursuite de l'aménagement en deux fois deux voies de la RN21 entre l'aéroport de Tarbes-Lourdes-Pyrén...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDominique Potier :

...si volontaire pour expérimenter ces dispositifs dans le cadre d'un projet capital, l'A31 bis, dont le tracé fait l'objet d'un accord. Si on ne veut pas segmenter les choses ni trop les retarder, si on veut organiser l'aménagement du territoire tout en menant la transition écologique, est-on capable d'imaginer un partenariat fort des régions, et sous quelle forme ? S'agira-t-il d'un segment d'autoroute, d'un partenariat sur le financement, d'une co-maîtrise d'ouvrage ? Êtes-vous prêt à cette expérimentation ? Êtes-vous prêt à faire du Grand Est, de ses métropoles et du Sillon lorrain un laboratoire de la multimodalité, d'un financement et d'un portage original d'infrastructures du futur ? C'est la question qui nous préoccupe et qui nous invite, si vous y répondez positivement, à un très beau ch...