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La crise sanitaire a-t-elle apporté des changements à l'utilisation ou à la promotion de la technologie blockchain ?
Des cas d'usage de la technologie blockchain se développent-ils actuellement dans la sphère publique ? Comment les acteurs publics s'approprient-ils cette nouvelle technologie ?
J'aurais simplement souhaité votre sentiment personnel sur la question. La technologie blockchain vous semble-t-elle désormais connue ? Vous faut-il encore expliquer à vos interlocuteurs publics en quoi elle consiste ?
Comment voyez-vous l'avenir de la blockchain à moyen et long terme ? Deviendra-t-elle incontournable ? Ou fera-t-elle figure de simple technologie parmi tant d'autres ?
J'ai bien conscience que votre position vous place à la limite du champ, mais l'écosystème nous avait demandé, puisque la France souhaite devenir une importante place financière, quelle attitude l'administration adopterait par rapport à la technologie blockchain et aux cryptoactifs.
Cet échange s'inscrit dans nos réflexions sur la blockchain. Nous avons auditionné la fédération française des professionnels de la blockchain la semaine dernière, et nous venons d'entendre l'association française de développement des actifs numériques. Dans un souci d'approche pratique par des cas d'usage, nous souhaitons pouvoir échanger avec vous sur l'avenir de cette technologie, sur les nombreuses possibilités qu'elle offre et qu'elle va continuer à offrir dans les prochaines années.
...eté numérique. Il s'agit d'une question rituelle de cette mission, qui procède de la grande diversité des définitions existantes. J'aimerais savoir, d'une part, comment vous définissez cette notion, et d'autre part, comment la blockchain peut être un levier de souveraineté pour la France et l'Europe. À cette occasion, j'aimerais que vous nous rappeliez en quelques mots le principe de cette technologie, ses cas d'usage et son niveau de maturité, puisque cette audition est publique et ouverte à toutes les personnes pouvant s'intéresser à ce sujet. Mon deuxième point porte sur le développement en France d'un écosystème blockchain performant. En un sens, c'est l'objet de votre association : rassembler et professionnaliser un secteur technologique en cours de construction. Comment jugez-vou...
Comment envisagez-vous les crypto-actifs ? Quelle est leur place à moyen et à long termes ? Les établissements bancaires et financiers ont peur de se faire détrôner, de disparaître à cause de la technologie des crypto-actifs. Est-ce une crainte justifiée ? Cela pourrait-il arriver, ou les deux vont-ils cohabiter, et cela pour longtemps ? Quelle est la place du secteur à terme ? Je vous demande votre vision. Comment cela peut-il se passer, en fonction des différentes plaques géostratégiques, si l'Europe est très en retard, que les États-Unis se développent très fortement, et qu'en réaction les Chinoi...
L'écosystème de la blockchain en France et en Europe évolue-t-il de façon rapide et exponentielle, ou l'acculturation est-elle limitée pour les citoyens et les pouvoirs publics ? Comment jugez-vous l'écosystème ? Est-il loin de la maturité ? Y a-t-il encore beaucoup d'efforts à faire pour expliquer ce qu'est cette technologie et à quoi elle peut servir ?
M. Rémy Ozcan, vous avez créé, en 2020, en tant que spécialiste de la technologie blockchain et cofondateur de Crypt4All, la fédération française des professionnels de la blockchain (FFPB) avec M. Jean-Michel Mis, député de la Loire et rapporteur, au même titre que Mme Laure de la Raudière, d'une mission d'information sur les usages des bloc-chaînes (ou blockchains ) et autres technologies de certification de registres. La FFPB rassemble les acteurs de l'...
Nous auditionnons M. Sébastien Dupont, président co-fondateur d'UNIRIS, ainsi que M. le général d'armée Grégoire de Saint-Quentin, président du cabinet de conseil Petra advisors et ancien conseiller du gouvernement pour la défense. Cette audition publique s'inscrit dans nos travaux sur les technologies numériques de pointe, dont la blockchain fait partie. UNIRIS est une start-up issue de l'incubateur de Paris-Saclay. Elle propose une solution biométrique, couplée à une blockchain, permettant de s'identifier sans login ni mot de passe. Son périmètre d'action inclut nombre de sujets qui nous intéressent, depuis l'identité numérique auto-souveraine au contrat intellige...
Revenons à la traçabilité des informations inscrites dans une blockchain et à l'utilisation de cette technologie par les notaires et les huissiers. Comment la blockchain s'inscrit-elle aujourd'hui dans notre droit ? Je songe bien sûr à l'enjeu de la force probante. Où nous situons-nous en France par rapport à d'autres pays ?
Revenons à la commande publique. Plutôt que de recevoir des subventions, les entreprises préfèrent étendre leur clientèle, car elles y trouvent, outre un bénéfice financier, une occasion de se confronter au réel en adaptant leurs produits aux besoins des commandes. Comment créer un marché pour une technologie de rupture, telle que la blockchain, alors même que les besoins de l'État ou des collectivités territoriales restent à définir ? Comment susciter un besoin qui incite à recourir à UNIRIS ?
Vous laissez entendre que Bpifrance, au-delà de son appui financier, devrait passer des commandes publiques. Or son statut de banque ne le lui permet pas, du fait de la législation européenne. Comment, dès lors, éduquer l'État aux nouvelles technologies ? Comment l'inciter à les utiliser dans sa transformation ?
Dans quel aspect de la technologie blockchain devons-nous aujourd'hui investir pour affirmer notre souveraineté ? Quel usage de cette technologie faut-il promouvoir en urgence ? Par où commencer ?
Quelle place la blockchain occupe-t-elle actuellement dans notre économie ? Je ne songe pas ici à sa valeur en termes de produit intérieur brut (PIB) mais à ses usages actuels. Quels projets sur le point d'aboutir pourraient apporter une visibilité à cette technologie auprès de nos concitoyens ? Nous avons beaucoup parlé jusqu'ici de l'État et des entreprises, moins, cependant, des apports de la blockchain à nos concitoyens dans leur quotidien. Or il est indispensable de les impliquer dans les enjeux de souveraineté.
La technologie blockchain et ses usages vous semblent-ils à même de générer un écosystème qui contribue à la souveraineté et inclue, en son sein, des dispositifs, voire une filière de formation ? En somme, cet écosystème doit-il s'intégrer à ceux, déjà en place, des start-up ou des nouvelles technologies ? Constituera-t-il plutôt un écosystème à part ? Dans quel cadre dispenser des formations à la...
UNIRIS recourt à la technologie blockchain encore peu utilisée par l'État. Certains la jugent absconse, d'autres la réduisent aux cryptoactifs. Comment une technologie encore aussi mal comprise peut-elle matériellement trouver sa place dans la carte nationale d'identité ?
Une collègue ayant dû quitter la réunion s'interrogeait sur l'empreinte carbone et la consommation d'énergie de la technologie blockchain. Existe-t-il des projets pour les limiter ? La technologie blockchain est-elle compatible avec la réduction des émissions de gaz à effet de serre ? Nous apprécierions une réponse écrite à ces questions, que le temps nous manque de traiter.
Décelez-vous l'émergence d'une filière blockchain française ou européenne aujourd'hui ? Existe-t-il des spécialistes de cette technologie en Europe ? Certaines écoles assurent-elles des formations spécifiques ? Des entreprises ou des administrations commencent-elles à s'y intéresser ? Comment aider l'écosystème actuel à se développer ? D'ailleurs, que représente-t-il au juste,?