Interventions sur "université"

1051 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPierre Dharréville :

Il existe un petit sujet sur la manière dont on passe le cap. Il ne s'agirait pas que la suppression du numerus clausus ne débouche sur rien en termes de formation, de nombre de professionnels formés. Cela exige de fournir un effort pour relever les défis. Si les formations sont simplement décidées au regard des capacités des universités, nous serons face à un problème.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlain Bruneel :

Je vous entends, madame la ministre, mais nous sommes face à un problème de fond. La fin du numerus clausus pose en effet la question de l'accueil d'étudiants plus nombreux. On a dit que d'autres universités pouvaient répondre aux besoins. Certes. Mais il y a aussi le problème du nombre de professeurs. Quel plan de formation avez-vous prévu pour accompagner tout cela ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFadila Khattabi :

...et amendement vise à réduire la fracture territoriale en matière d'accès aux soins et, pour ce faire, à ajuster au mieux la réforme des parcours d'études aux besoins des territoires, donc à favoriser les stages des étudiants dans les territoires sous-dotés dans l'espoir que ces étudiants s'installeront dans le lieu où ils auront effectué leur stage. Le dispositif proposé est l'élaboration par les universités, en étroite collaboration avec les ARS, d'une cartographie référençant les établissements en mesure d'accueillir les futurs étudiants stagiaires hors CHU. Cela implique d'établir une liste des personnels de santé disponibles et bénéficiant de la formation nécessaire et adéquate leur permettant de remplir les missions de maîtres de stage. Il ne s'agirait pas, bien sûr, de mettre à mal la qualité ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaStéphanie Rist, rapporteure sur le titre Ier du projet de loi :

Il ne me semble pas souhaitable d'inscrire dans la loi un cadre restreint de ces possibilités d'entrer en deuxième année de santé car il faut laisser la possibilité aux universités de s'organiser pour qu'il y ait des filières avec des majeures santé ou des licences avec des mineures santé. Par ailleurs, l'alinéa 4 qui dispose que l'admission en deuxième ou troisième année de premier cycle est subordonnée à la validation d'un parcours de formation antérieure permet de couvrir le cas des portails santé comme des autres filières d'accès comportant une mineure santé. Avis défa...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaEricka Bareigts :

Je souhaite une précision. Selon ce que vous dites, madame la rapporteure, ce serait à géométrie variable selon les territoires, les universités, les capacités. Les propositions de nos collègues ont au moins le mérite de faire en sorte que l'étudiant saurait quel sera le portail santé commun à tous les étudiants de France.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaStéphanie Rist, rapporteure sur le titre Ier du projet de loi :

Il existe certes un enjeu sur l'information qui sera communiquée aux étudiants, et l'amendement que je porte sur le rapport précise justement l'information donnée avant l'entrée en première année. Ensuite, selon les universités, les mineures santé ne seront pas en effet dans les mêmes licences ; cela dépendra des licences qui existent déjà dans les universités. Le portail santé correspond en gros à toutes les universités actuelles de médecine.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Pierre Door :

... gaz qui est en train de se monter, entre portail santé, licences santé, licences avec mineures santés et même, pourquoi pas, classes préparatoires... Je pense que je vais regretter ce qui existait dans le temps, avec le certificat d'études supérieures sciences portant sur la physique, la chimie et l'histoire naturelle (SPCN). C'était simple, clair et net. Je pense que c'est pourquoi les doyens d'université souhaitent l'inscription de la matière santé dans le parcours de formation antérieur. Cet amendement va un peu dans le même sens que ceux de M. Touraine et de M. Grelier.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCyrille Isaac-Sibille :

L'article 1er est intéressant. En même temps, il faut se fixer des objectifs. Cet amendement vise à préciser que les universités proposent au moins deux filières et qu'une filière ne peut avoir plus de 60 % d'étudiants. Autrement, nous reviendrions à la PACES et nous n'aurions rien réformé.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaStéphanie Rist, rapporteure sur le titre Ier du projet de loi :

Je suis tout à fait d'accord sur l'enjeu des 60 % mais on pourrait proposer une diversification encore plus importante et il ne me semble que ce soit une bonne chose de rendre la loi contraignante. Il faut laisser latitude aux universités de s'organiser. L'amendement que je présenterai sur le rapport d'évaluation me semble un outil pertinent pour évaluer cette diversité.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaCyrille Isaac-Sibille :

Si nous ne précisons pas les choses, nous pouvons nous retrouver dans la même situation grosso modo que la PACES, avec des universités qui ne mettent en place qu'une filière, qui représentera 100 % des étudiants, et nous n'aurons rien changé.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaStéphanie Rist, rapporteure sur le titre Ier du projet de loi :

Les conditions d'organisation des enseignements et du règlement intérieur des universités sont du niveau infra-réglementaire. Avis défavorable.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGaël Le Bohec, rapporteur pour avis de la commission des affaires culturelles et de l'éducation :

La commission des affaires culturelles a souhaité que législateur incite plus fortement les universités à jouer le jeu de la réforme. Bien sûr, certaines universités qui expérimentent déjà des formes alternatives de PACES sont bien engagées dans le processus, mais ce n'est certainement pas le cas de toutes et, dans certains territoires, il y aura des réticences à mettre en oeuvre cette réforme et à proposer un minimum de deux voies d'accès aux études de santé. Le but est bien là : assurer l'égalit...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAgnès Firmin Le Bodo :

Il s'agit d'inclure les URPS dans le processus. Elles doivent être associées, comme les universités et les collectivités territoriales, à l'analyse des besoins de l'offre en matière de formation. Nous proposons donc d'insérer après le mot « territoriales » les mots « et les unions régionales des professions de santé ».

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJeanine Dubié :

Cet amendement vise à associer les URPS, comme les universités et les collectivités territoriales, à l'analyse des besoins et de l'offre en matière de formation pour les professionnels du secteur sanitaire et médico-social.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaClaire Pitollat :

Cet amendement vise à préserver des capacités suffisantes d'accueil des étudiants entrant en deuxième cycle des études de médecine, de pharmacologie, d'odontologie et de maïeutique, et à éviter une disproportion des capacités d'accueil entre le premier et le deuxième cycle. Il permet aux ARS de s'en assurer lorsque les universités déterminent leurs capacités d'accueil.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaStéphanie Rist, rapporteure sur le titre Ier du projet de loi :

Il faut effectivement conserver un lien entre le premier et le deuxième cycles. Cependant, votre intention est déjà satisfaite puisque c'est de cette façon que les universités définissent les capacités d'accueil. Il ne me paraît pas important de l'inscrire dans la loi. Défavorable.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaStéphanie Rist, rapporteure sur le titre Ier du projet de loi :

Nous avons entendu la difficulté qu'il y a pour les universités à mener de front la réforme du premier et du deuxième cycle. Cependant, il est urgent de réformer la PACES, car il faut en finir avec cet énorme gâchis pour les étudiants qui rencontrent des difficultés majeures en matière de qualité de vie. Nous avons prévu, avec le rapporteur général, de présenter un amendement visant à décaler d'un an l'entrée dans le troisième cycle. Avis défavorable.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Pierre Door :

Madame la rapporteure, vous savez bien que les universités ferment à la fin du mois de juillet, c'est-à-dire au cours de l'été, pour ne rouvrir qu'à la fin du mois de septembre ou au début du mois d'octobre. Il risque donc d'y avoir un encombrement et les étudiants pourraient rencontrer des difficultés.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Hugues Ratenon :

Il est essentiel que le Gouvernement s'assure que les bourses délivrées aux étudiants boursiers leur permettent de se consacrer entièrement à leurs études, sans avoir à travailler à côté de cette activité. Si de telles analyses ne sont pas faites et corrigées, nous ne parviendrons pas à lutter contre les inégalités sociales qui sont largement perpétuées dans les universités de médecine. Tel est le sens du rapport que nous demandons.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaThomas Mesnier, rapporteur général :

L'amendement AS1608 vise à préciser que les épreuves de connaissances qui remplaceront les épreuves classantes nationales conserveront un caractère national et que les épreuves de compétences introduites dans le projet de loi seront organisées dans chaque université, mais selon un cahier des charges national.