Publié le 9 novembre 2018 par : M. Saulignac, M. Jean-Louis Bricout, Mme Pires Beaune, Mme Rabault, M. David Habib, Mme Karamanli, Mme Untermaier, M. Aviragnet, Mme Bareigts, Mme Battistel, Mme Biémouret, M. Bouillon, M. Carvounas, M. Alain David, Mme Laurence Dumont, M. Faure, M. Garot, M. Hutin, M. Juanico, M. Jérôme Lambert, M. Letchimy, Mme Manin, Mme Pau-Langevin, M. Potier, M. Pueyo, Mme Tolmont, Mme Vainqueur-Christophe, M. Vallaud, Mme Victory.
Modifier ainsi les autorisations d'engagement et les crédits de paiement :
(en euros) | ||
Programmes | + | - |
Provision relative aux rémunérations publiques | 20 000 000 | 0 |
Dont titre 2 | 20 000 000 | 0 |
Dépenses accidentelles et imprévisibles | 0 | 20 000 000 |
TOTAUX | 20 000 000 | 20 000 000 |
SOLDE | 0 |
Cet amendement de crédits du groupe Socialistes et apparentés permet d’étendre les annonces du rendez-vous salarial du 18 juin 2018 en matière de compte-épargne temps (CET) à la fonction publique hospitalière.
Pour rappel, lors de ce rendez-vous salarial, le gouvernement a annoncé une revalorisation de 10 euros du montant des jours monétisés au titre du CET, jusque-là inférieur au coût réel d’une journée de travail, en même temps qu’une baisse du seuil de déclenchement de 20 à 15 jours.
Ainsi, les agents qui accumulent les jours non travaillés mais ne les compensent pas en repos, notamment par nécessité de service, pourront ainsi plus facilement les monétiser et à un prix plus avantageux.
Cette mesure en faveur du pouvoir d’achat ne s’appliquera toutefois pas aux agents de la fonction publique hospitalière. Cet amendement permet donc d’apporter les crédits nécessaires pour financer cette extension à toute la fonction publique.
Afin de respecter les exigences de l’article 40 de la Constitution et de la LOLF et ainsi d’assurer la recevabilité financière de cet amendement de crédits, il procède à :
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