Publié le 12 octobre 2019 par : Mme Pires Beaune, M. Jean-Louis Bricout, M. David Habib, Mme Rabault, M. Aviragnet, Mme Bareigts, Mme Battistel, Mme Biémouret, M. Bouillon, M. Carvounas, M. Alain David, Mme Laurence Dumont, M. Faure, M. Garot, M. Hutin, M. Juanico, Mme Karamanli, M. Jérôme Lambert, M. Letchimy, Mme Manin, Mme Pau-Langevin, M. Potier, M. Pueyo, M. Saulignac, Mme Tolmont, Mme Untermaier, Mme Vainqueur-Christophe, M. Vallaud, Mme Victory, les membres du groupe Socialistes apparentés.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après diffusion en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale.
Cet amendement du groupe Socialistes et apparentés vise à ce que la compensation octroyée sous la forme d’affectation de fraction de TVA aux EPCI, aux départements, à la ville de Paris et à la métropole de Lyon s’effectue bien « à l’euro près » comme s’y était engagé le Gouvernement.
Pour ce faire, la compensation, dont la première année de versement sera 2021, ne doit pas être fondée sur le produit budgétaire de l’année précédente, sans quoi les collectivités subiraient une « année blanche » de dynamique de ressources.
Cette problématique d’« année blanche » avait été soulevée dans le cadre de la loi de finance initiale pour 2017 lorsqu’il s’était agît d’octroyer une fraction de TVA aux régions en lieu et place de la DGF.
Le présent amendement reprend donc textuellement les termes du II de l’article 149 de la loi de finances initiale pour 2017 (référence à « l’année » et non à « l’année précédente »).
Cet amendement a été proposé par l’association France Urbaine.
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