Publié le 26 mars 2018 par : M. Potier, M. Garot, Mme Batho, Mme Pires Beaune, Mme Rabault, Mme Battistel, Mme Victory, Mme Karamanli, M. Saulignac, M. Vallaud, M. Aviragnet, Mme Bareigts, M. Jean-Louis Bricout, Mme Biémouret, M. Le Foll, M. Bouillon, M. Carvounas, M. Alain David, Mme Laurence Dumont, M. Faure, M. Hutin, M. Juanico, M. Jérôme Lambert, M. Letchimy, Mme Pau-Langevin, Mme Manin, M. Pueyo, M. Pupponi, Mme Untermaier, Mme Vainqueur-Christophe.
Compléter l'alinéa 2 par les mots :
« et en permettant l'exercice d'un conseil stratégique et indépendant ».
La séparation de la vente de produits phytopharmaceutiques et du conseils à leur utilisation semble séduisante dans l'optique de réduction de leur utilisation. Cet objectif peut être dévoyé si les acteurs du secteur ne jouent pas le jeu. Aussi afin d'éviter le détournement de cet objectif par des acteurs du secteur des produits phytopharmaceutiques peu scrupuleux, cet amendement propose de préciser que le conseil doit être stratégique (être véritablement porteurs de solutions agronomiques pour l'agriculteur en demande) et indépendant de l'industrie des produits phytopharmaceutiques.
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