Les amendements de Charles de Courson pour ce dossier
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C'est sur l'amendement du rapporteur général que je souhaitais intervenir. J'avais pour ma part déposé un amendement d'appel visant à connaître la position du Gouvernement sur le tabac à chauffer, dont la taxation se fait aujourd'hui par défaut : la France n'a pas fait le choix de le taxer de façon spécifique, à la différence de plusieurs États...
Il vise simplement à porter le plafond du forfait mobilité durable à 800 euros par an et par salarié, afin d'en faire un réel outil au service d'une mobilité plus responsable des salariés. L'État pourrait prendre en charge 50 % du montant global de l'enveloppe, soit 400 euros.
Monsieur le rapporteur général, plutôt que de supprimer tout ce qu'a fait le Sénat, pourquoi ne fait-on pas en sorte d'améliorer la situation ? Chacun sait que le transport routier est très dominant dans le transport de marchandises et que c'est l'une des causes d'émissions de CO2 ; il serait donc logique d'encourager une réduction de ces émiss...
Il est certain que, si elle existait, nous ne discuterions pas de cela, car une telle taxe est un moyen de rendre plus compétitifs à l'export un pays et ses entreprises. En attendant, nous recourons à des palliatifs. Tant que nous n'aurons pas la TVA sociale, la vraie question sera celle-ci : les aides de 30 millions du Gouvernement seront-elle...
Dans l'exposé sommaire de votre amendement, monsieur le rapporteur général, vous indiquez que vous voulez rétablir l'exonération des éoliennes situées dans des zones économiques exclusives. Or vous ajoutez que « ces éoliennes seront déjà soumises à une redevance spécifique en cas de mise en service ». Quelle est donc cette redevance spécifique ...
Il vise à prolonger en 2021 le filet de sécurité que nous avons établi en 2020, je crois à l'unanimité ici. La crise sanitaire se prolongeant, si l'on veut soutenir les collectivités locales dans leur effort d'investissement, il faut leur garantir le maintien de ce filet de sécurité en 2021. Je précise qu'en 2020, les estimations initiales du f...
Je suis prêt à retirer mon amendement no 473 au profit de l'amendement no 726 de la commission. Cependant, monsieur le ministre délégué, pouvez-vous nous indiquer quel est le coût estimé de l'amendement de la commission des finances ? S'établit-il, comme en 2020, aux alentours de 300 millions d'euros ?
Monsieur le ministre délégué, vous proposez, avec votre sous-amendement, d'abonder le PSR de 10 millions d'euros au profit des collectivités locales qui procèdent à l'abandon ou à la renonciation définitive de loyers. Cette mesure est-elle symétrique à celle que nous avons adoptée pour les propriétaires bailleurs, c'est-à-dire portant uniquemen...
L'amendement du rapporteur général est tout à fait logique. Cependant, avec un plafond à 124 millions et un autre à 130 millions, la question à poser est toute simple : à 124 millions, le plafond est-il mordant et, si c'est le cas, de combien ?
Monsieur le ministre délégué, êtes-vous sûr que l'amendement ne comporte pas une erreur sous la rubrique « Contribution de la Caisse des dépôts et consignations représentative de l'impôt sur les sociétés » ? Je lis 60,3 milliards : un zéro a dû se déplacer, ce serait plutôt 6,3 milliards.
Je ne comprends pas votre position. Le Sénat s'est calé sur la définition donnée par la Cour de justice de l'Union européenne. Notre texte, il est vrai, est un peu vaseux. Par rapport à celui que nous avions voté en première lecture, il définit les produits liés en indiquant : « Un élément est accessoire dès lors qu'il ne possède pas de logique...
Monsieur le rapporteur général, vous êtes pris en flagrant délit de contradiction par rapport à l'amendement précédent. Avec le no 676, vous ne vouliez pas tirer les conséquences de la jurisprudence communautaire en matière de TVA. À présent, avec le no 536, vous renversez totalement votre position puisque vous invoquez l'argument européen pour...
À la différence des amendements précédents, il concerne les petites et moyennes entreprises. En l'état des textes, la suppression de la moitié du produit de la CVAE, conjuguée avec la baisse du plafonnement de la contribution économique territoriale – CET – , profitera essentiellement aux grandes entreprises, qui atteignent plus rapidement le p...
Monsieur le rapporteur général, quelle aurait été l'incidence de l'abaissement à 1,5 % par le Sénat du plafonnement de la CET, et quel en aurait été le coût ? Le but de nos collègues de la Haute Assemblée était de faire bénéficier davantage les petites et moyennes entreprises de la réduction d'impôt : est-ce bien le cas ?
Il est vrai que cette discussion sur la motion de rejet préalable a quelque chose de surréaliste.
Chiche : que se passerait-il si nous l'adoptions ? Eh bien, nous fonctionnerions au douzième provisoire, sur la base de l'année précédente, c'est-à-dire celle qui s'achève.
Autant vous dire que les crédits dont on a besoin pour faire face à une partie des conséquences de la crise – qu'on soit pour ou contre – tomberaient. Je ne pense pas que c'est le souhait de M. Coquerel. M. Coquerel adore critiquer le fait que des entreprises distribuent des dividendes.
Par ailleurs, monsieur Coquerel, vous avez un peu d'épargne, comme tous les Français, un petit contrat d'assurance vie ou que sais-je.
Pensez-vous qu'il y aurait encore des gens pour investir dans des entreprises s'ils ne percevaient jamais de dividendes ? Il me paraît évident que non ! Ne critiquez pas le principe de la distribution de dividendes ; les entreprises ont besoin d'en distribuer. Vous avez raison, partiellement, sur un point : …
… le problème social. En effet, contrairement à ce qu'a dit M. Le Maire, il y a encore des trous dans la raquette, qu'il s'agisse de ceux qui étaient en CDD, dont certains n'ont pas droit au chômage, ou de ceux qui travaillent en intérim. L'intérim, qui avait beaucoup chuté, est reparti, mais il reste encore toute une série de catégories non co...