cosignée par Damien Abad, Emmanuelle Anthoine, Nathalie Bassire, Valérie Beauvais, Philippe Benassaya, Sandra Boëlle, Jean-Yves Bony, Ian Boucard, Jean-Claude Bouchet, Bernard Bouley, Jean-Luc Bourgeaux, Marine Brenier, Bernard Brochand, Jacques Cattin, Dino Cinieri, Éric Ciotti, Pierre Cordier, Fabien Di Filippo, Éric Diard, Jean-Pierre Door, Virginie Duby-Muller, Annie Genevard, Yves Hemedinger, Michel Herbillon, Patrick Hetzel, Brigitte Kuster, Charles de la Verpillière, Marc Le Fur, Maxime Minot, Éric Pauget, Bernard Perrut, Bérengère Poletti, Nathalie Porte, Julien Ravier, Frédéric Reiss, Raphaël Schellenberger, Jean-Marie Sermier, Nathalie Serre, Laurence Trastour-Isnart, Isabelle Valentin, Pierre Vatin, Michel Vialay, Jean-Pierre Vigier & Stéphane Viry
Mesdames, Messieurs, L’effort substantiel fait par le Gouvernement en faveur de l’apprentissage dans le cadre du plan « 1 jeune, 1 solution » porte ses fruits.
En effet, cette prime de 5 000 euros pour un mineur (8 000 euros pour un majeur) prévue pour la première année de formation, qui vient d’être prolongée jusqu’au 30 juin 2022, a provoqué la signature de plus de 500 000 contrats d’apprentissage en 2020, ce dont nous ne pouvons que nous réjouir.
Il n’en reste pas moins que ces contrats représentent un investissement certain pour les entreprises : elles doivent rémunérer les apprentis, à un salaire souvent supérieur à leur productivité, mais aussi mobiliser leur tuteur qui, de ce fait, perd en productivité. Ce coût est cependant perçu comme un investissement en capital humain.
Nombreuses entreprises, souffrant d’une pénurie de main d’œuvre, notamment d’ouvriers qualifiés, voient dans ce recours à l’apprentissage une opportunité...
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