cosignée par Emmanuelle Anthoine, Nathalie Bassire, Thierry Benoit, Ian Boucard, Guy Bricout, Michel Castellani, Gérard Cherpion, Paul Christophe, Paul-André Colombani, Josiane Corneloup, Olivier Dassault, Nicolas Dupont-Aignan, Yannick Favennec-Bécot, Agnès Firmin Le Bodo, Isabelle Florennes, Laurent Furst, Meyer Habib, Michel Herbillon, Patrick Hetzel, Yves Jégo, Jean-Christophe Lagarde, Jean-Luc Lagleize, Vincent Ledoux, Maurice Leroy, Véronique Louwagie, Gilles Lurton, Lise Magnier, Emmanuelle Ménard, Christophe Naegelen, Jérôme Nury, Jean-François Parigi, Bérengère Poletti, Jean-Luc Reitzer, Vincent Rolland, Maina Sage, Nicole Sanquer, Jean-Marie Sermier, Isabelle Valentin & Francis Vercamer
Mesdames, Messieurs, La dyspraxie fait partie des troubles « dys » qui sont des troubles cognitifs spécifiques qui affectent l'apprentissage de l'enfant.
Elle touche 5 % à 7 % des enfants de 5 à 11 ans selon le Haut Comité de la Santé Publique.
Elle entraîne des « troubles du geste » qui se caractérisent par des maladresses diverses dans le quotidien.
L'enfant, qui en est victime, a des gestes souvent lents, plus ou moins adaptés à l'environnement qui l'entoure.
Il a également du mal à gérer son temps ou l'espace environnant.
Cette maladie complexe a des symptômes multiples et souvent difficilement détectables.
Elle peut entrainer de véritables difficultés tant au niveau scolaire qu'au niveau social, l'enfant étant souvent considéré comme atteint d'un handicap.
Un suivi médical est donc nécessaire via des séances d'ergothérapie.
Ce suivi fait preuve d'un consensus scientifique et est recommandé par la Haute Autorité de la Santé publique.
Toutefois, ces sé...
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