Publié le 17 mars 2019 par : Mme de La Raudière, Mme Auconie, M. Becht, M. Benoit, M. Bournazel, M. Guy Bricout, M. Brindeau, M. Christophe, M. Demilly, Mme Descamps, Mme Frédérique Dumas, M. Dunoyer, Mme Firmin Le Bodo, M. Gomès, M. Meyer Habib, M. Herth, M. Lagarde, M. Ledoux, Mme Lemoine, Mme Magnier, M. Morel-À-L'Huissier, M. Naegelen, Mme Sage, Mme Sanquer, M. Son-Forget, M. Vercamer, M. Villiers, M. Warsmann, M. Zumkeller.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après diffusion en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale.
Cett amendement vise à permettre une meilleure gestion de la vaccination.
En effet, une fois sortis de l'adolescence, et avant d'avoir atteint un âge beaucoup plus avancé, rares sont les adultes qui vont régulièrement chez leur médecin traitant pour effectuer un bilan complet. On y va généralement pour un problème bénin (angine, grippe, cystite, maux de tête, etc...). Il arrive également que les médecins traitants ignorent quelles vaccinations ont reçu leur patient depuis leur enfance. Ils soignent le mal pour lequel le patient vient consulter, mais n'ont pas toujours l'occasion de vérifier si toutes les vaccinations sont bien à jour.
De son côté, le patient ne va pas peut-être pas savoir qu'il doit renouveler certains vaccins, ou ne pas penser à vérifier qu'il a été vacciné contre la rougeole par exemple.
Aussi, le fait de recevoir un message rappelant toutes les informations nécessaires sur la vaccination, va permettre à la personne de s'interroger sur sa situation vaccinale et l'inciter à faire le nécessaire pour être à jour.
Le présent amendement propose d'expérimenter ce disposition durant cinq ans sur deux régions de France.
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