Publié le 6 décembre 2019 par : Mme Auconie, M. Becht, M. Benoit, M. Bournazel, M. Guy Bricout, M. Brindeau, M. Christophe, Mme de La Raudière, M. Demilly, Mme Descamps, M. Dunoyer, Mme Firmin Le Bodo, M. Gomès, M. Meyer Habib, M. Herth, M. Lagarde, M. Ledoux, Mme Lemoine, Mme Magnier, M. Morel-À-L'Huissier, M. Naegelen, Mme Sage, Mme Sanquer, M. Son-Forget, M. Vercamer, M. Villiers, M. Warsmann, M. Zumkeller.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après diffusion en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale.
Aujourd’hui, le bilan carbone d’une terrasse équipée de quatre braseros au gaz, allumés à pleine puissance pendant huit heures, serait équivalent à celui d’un trajet de 350 km en voiture.
Alors que la France s’est fixé pour objectif d’atteindre une neutralité carbone en 2050 et souhaite lutter contre le gaspillage,la pertinence du chauffage de l’air libre se poste.
C’est pourquoi cet amendement propose d’interdire, à partir de 2022, la vente de systèmes de chauffage fonctionnant aux énergies fossibiles. Il ne s’agit donc pas de faire disparaître les terrasses des cafés et restaurants mais bien de les orienter vers des solutions plus économes pour limiter le gaspillage d’énergie.
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