Les amendements de Véronique Louwagie pour ce dossier

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Mon amendement est identique aux précédents. Je voudrais revenir, d'une façon plus générale, sur la question du plafonnement des taxes affectées. En elles-mêmes, ces taxes ne constituent pas un problème, mais le plafonnement, lui, contribue finalement à une fiscalité déguisée : la taxe prélevée pour une cause, pour un objectif, se trouve détou...

C'est un amendement de repli par rapport au précédent. Les enjeux sont devant nous, et la gestion de l'eau va devoir relever de très nombreux défis. L'abaissement du plafond au niveau proposé n'est pas du tout opportun. Cet amendement tend donc à revenir à un niveau correspondant aux moyens annuels dont les agences de l'eau disposaient pour la ...

Notre rôle ici est d'adapter les textes aux modes d'exploitation. Le système actuel est incohérent. Si une collectivité décide de réaliser des investissements en les finançant directement ou par emprunt, elle bénéficie du FCTVA. En revanche, si elle décide, sur le même sujet, de recourir à un contrat de location longue durée, elle n'est pas éli...

Si nous en sommes arrivés à cette situation et si nous avons gagné ce combat, c'est grâce aux travaux conduits par la commission des finances, grâce à notre collègue Fabrice Brun, lequel a déposé un amendement tendant à supprimer la régionalisation de la collecte de la taxe pour frais de chambres d'agriculture et la diminution des crédits, et g...

Oui, mes chers collègues, écoutez la voix des territoires. C'est très important. Nous l'avons relayée en commission des finances. Et c'est parce que certains députés de la majorité ont pris conscience de la situation que nous sommes arrivés à apporter un soutien aux corps intermédiaires. Ceux-ci doivent exister. Appuyez-vous sur les chambres co...

Je souhaiterais d'abord réagir sur la forme, monsieur le ministre : on peut regretter qu'un sujet de cette importance soit abordé par le biais d'un amendement du Gouvernement, déposé à la dernière minute, sans étude d'impact. Quant au fond, nous pouvons en effet nous réjouir de voir les sociétés autoroutières participer au financement d'un cer...

Il vise à faire bénéficier les collectivités territoriales du FCTVA lorsqu'elles verdissent leur parc automobile en s'équipant de véhicules électriques ou hybrides en recourant à un contrat de location de longue durée. Aujourd'hui, le dispositif varie selon le mode de financement retenu. Pourtant, le résultat est le même quand une collectivité ...

C'est un amendement de repli à l'amendement no 874 ; il propose de n'appliquer le dispositif qu'aux contrats de location signés avant le 31 décembre 2022 afin de l'expérimenter pour une durée limitée de trois années.

Notre collègue Damien Abad en est le premier signataire. Il porte sur les produits issus de la filière bois énergie, que nous proposons de soumettre à un taux de TVA de 5,5 %. M. le rapporteur général ne manquera pas de dire qu'il s'agit d'un « marronnier ». Toutefois, il importe de rappeler que les abonnements au gaz et à l'électricité bénéfi...

Il vise à revenir sur deux dispositions figurant à l'article 5 du projet de loi de finances – PLF – pour 2020 : la transformation en exonération du dégrèvement de la taxe d'habitation pour 80 % des contribuables et le gel des bases de la taxe d'habitation en 2020. Nous demandons la suppression de ce gel, qui contrevient aux modalités votées par...

Merci, monsieur le secrétaire d'État, pour vos réponses. Si je comprends bien, la revalorisation sera cette année de 0,9 % ; mais quid des deux années qui restent – du moins pour les 20 % de ménages encore soumis à la taxe d'habitation ? Monsieur le rapporteur général, vous remettez en cause cette année l'indice qui avait été retenu dans la lo...

J'espère qu'il connaîtra le même sort que ceux qui précèdent ! Nous proposons de supprimer la contribution annuelle sur les revenus locatifs, instaurée en 2000 en remplacement de deux anciennes taxes, la contribution annuelle représentative du droit de bail et la contribution additionnelle à cette dernière. Petit à petit, la liste de ses redev...

Il s'agit d'un amendement similaire à ceux que présentent nos collègues ; mais je mets cette occasion à profit pour vous demander, monsieur le secrétaire d'État, de transmettre à la représentation nationale les tableaux des communes perdantes au regard de l'augmentation des taux – au regard des chiffres que vous nous avez donnés : 109 millions ...

J'entends bien ce que vous dites, monsieur le secrétaire d'État : en transposant les dispositions existantes, vous souhaitez conserver le même mécanisme. Or, me semble-t-il, la situation a complètement changé. Ce plafonnement était justifié lorsque les collectivités disposaient de l'outil qu'est la taxe d'habitation, mais elles n'en disposeront...

Avec mes collègues Marie-Christine Dalloz et Éric Woerth, nous avons rédigé cet amendement à la suite de la proposition, faite par le rapporteur général en commission des finances, de diminuer le droit de partage de biens meubles et immeubles, dû notamment en cas de divorce. La commission a proposé de ramener ce taux de 2,5 % à 1,1 %. Le rappo...

Je me suis fondée, pour ma part, sur les chiffres du rapporteur général, selon lesquels le coût total de mon amendement se situait autour de 200 millions, contre environ 100 millions pour le sien. J'entends en tout cas votre position d'ouverture, monsieur le ministre, et je retire notre amendement.

C'est le deuxième amendement déposé par le Gouvernement à la dernière minute. Le premier, à l'article 5, prévoyait une dotation de 250 millions d'euros aux départements dont les modalités de répartition et d'imputation n'ont jamais pu nous être expliquées.

Je confirme : nous n'avons eu aucun élément de précision. Cette façon de faire met en lumière le mépris inadmissible du Gouvernement à l'égard du Parlement. Sur un amendement de cette nature, nous ne disposons d'aucune étude d'impact alors que notre rôle est d'évaluer et de contrôler l'action du Gouvernement. C'est inacceptable. En outre, alor...

Cet amendement, dont l'auteur est mon collègue Nicolas Forissier, vise à prendre en considération la situation des entreprises dont les résultats sont en totalité soumis à l'impôt sur le revenu, même s'ils ne sont pas utilisés par le chef d'entreprise. Il vous est donc proposé d'autoriser la constatation d'une quote-part de ce résultat non assu...

Il est identique à celui que je viens de défendre, si ce n'est que son périmètre diffère un peu : une provision pour investissement maximale de 7 000 euros par exercice, avec un plafond de 35 000 euros sur cinq ans et une limite de 13 % du résultat fiscal.