Je voudrais seulement dire à M. Ruffin que nous avons quand même une certaine capacité de discernement, au sein de La République en marche, et que nous votons en conscience. Nous souhaitons aller vite pour faire avancer le pays, et nous avons hâte que les Françaises et les Français puissent dire à Emmanuel Macron : « Merci Patron ! »
Je souhaitais vous interroger sur le dépistage et le diagnostic précoces des pathologies et des déficits neuro-sensoriels chez les enfants, ainsi que des déficits cognitifs chez les adultes. Une prise en charge rapide est plus efficace.
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La proposition n° 30 du rapport, sur les « hôtels hospitaliers », me semble tout à fait intéressante et légitime. On connaît le prix de la surveillance médicale après un acte, en particulier chirurgical ; il est très coûteux de garder quelqu'un dans un service. Envisagez-vous une évolution de la TAA ou le passage dans un soin de suite, ou bien même, peut-être, un retour à domicile via une hospitalisation à domicile ou l'utilisation du triptyque médecin traitant, infirmière à domicile et prestataire de santé à domicile, via la télésurveillance ?
Je souhaite tout d'abord souligner les engagements forts et courageux de ce PLFSS, particulièrement pour ce qui concerne la mise en valeur du travail d'innovation et de prévention, mais aussi pour le maintien de l'équilibre budgétaire. Madame la ministre, la désertification médicale rurale comme urbaine constitue aujourd'hui une préoccupation majeure. L'attention que vous portez à cette problématique nationale apporte d'ailleurs la preuve de la juste appréhension qui est la vôtre des conséquences de cette situation. Vous n'êtes pas sans savoir que le maillage dense et équilibré du territoire national par tous les professionnels de santé est indispensable ...
S'agissant des émissions polluantes des véhicules automobiles, l'attention est toujours focalisée sur le CO2, il ne faut toutefois pas négliger les diverses microparticules émises par le bioéthanol. Cet amendement est retiré.
Puis-je signaler que nous n'avons pas dix-huit mois de recul mais 90 ans, au cours desquels des milliards de doses de vaccins ont été administrées, pour lesquelles on n'a pas trouvé de meilleurs adjuvants que les adjuvants aluminiques, qui sont indispensables. L'esprit critique que Pasteur appelait de ses voeux doit aussi être appliqué à des études relatives à la vaccination, lesquelles sont plus que galvaudées puisqu'elles n'apportent aucune preuve tangible d'un quelconque danger de la vaccination. Qu'un vaccin provoque un granulome à l'endroit de l'injection, réaction allergique banale, n'a rien à voir avec la toxicité de l'aluminium à haute dose, et le ...
Madame Brocard, avec cet amendement vous allez au-delà de ce que souhaite le Gouvernement puisqu'il faudrait vacciner tout le monde, les encadrants mais aussi tous ceux qui n'auront pas été soumis à la vaccination obligatoire. Bien sûr, s'il est intéressant de vacciner le plus de monde possible, il faut fixer une date à partir de laquelle on met en place une réglementation.
Il faut en effet être prudent. Dans les logiciels médicaux, il est déjà possible d'indiquer le motif de prescription. De même, dans certaines spécialités, en cas de doute sur un remboursement, on peut être interrogé par la CPAM. On peut sans doute trouver un juste milieu.
Certaines personnes peuvent avoir du mal à faire la différence entre la télémédecine et ces officines qui font de la consultation par téléphone. J'avoue avoir un peu de mal à comprendre comment on peut consulter par téléphone. Quant à la télésurveillance, elle représente un enjeu d'avenir en matière d'accessibilité des soins et de diminution des coûts. Cependant, je rejoins la demande d'une étude plus poussée car un grand nombre d'interlocuteurs et d'intervenants sont impliqués dans le système. Nous devons nous donner le temps de revoir l'organisation, en nous posant la question du secret médical compte tenu de l'accès à de nombreuses informations. ...
Je suis heureux de voir que mon intervention sur les airbags a marqué les esprits… Il ne faut pas se tromper de cible et systématiquement stigmatiser l'industrie pharmaceutique ; sur ce point, je rejoins tout à fait l'avis du rapporteur général. Il convient bien entendu de cibler le service médical rendu, et de chercher le bénéfice que le médicament apporte afin d'en fixer le juste prix. Et il ne faut pas toujours imaginer que c'est David contre Goliath ; le discours doit être dédramatisé.
Je partage le point de vue du rapporteur ; si j'en crois mon expérience personnelle, ce genre de prescription est très rare, la charge supplémentaire de travail me paraît tout à fait négligeable. Cet amendement ne me paraît pas justifié.
Il me semble en effet qu'un travail commun serait intéressant, car il existe désormais de nouvelles techniques de dialyse à domicile moins invalidantes et qui nuisent donc moins à la vie sociale du patient.
Nous avons parfois des réflexions d'habitants de petit village gaulois.
… laquelle n'a ni parti ni intérêt financier. La vie doit toujours rester notre priorité dans cette assemblée.
vous déclenchez l'arme de destruction massive, le conventionnement sélectif.
Il y a donc vraiment une crise des vocations. Dès lors, il est préférable de privilégier l'accompagnement, de faire confiance. C'est d'ailleurs ce qui caractérise le projet territorial développé par ma collègue, derrière moi. Vous aviez raison, monsieur Aviragnet, d'affirmer qu'il faut aider les internes à s'installer dans une localité. Pour transposer ce sujet dans le monde politique, prenons l'exemple des dernières élections législatives – et s'agissant du manque d'attractivité, vous vous y connaissez sur les bancs de la Nouvelle Gauche. Comment combattre l'abstention ? Soit on oblige à voter, soit on se demande pourquoi les gens ne sont pas allés ...
Je ne peux pas entendre dire, dans ce moment un peu plus calme du vendredi après-midi, que les familles se serviront des allocations pour acheter des kalachnikovs. C'est totalement immoral ! Défendre de tels amendements n'est pas dans les valeurs de cette assemblée. Nous ne pouvons pas les entendre.
Avec ces amendements, madame Ménard, monsieur Chenu, vous créez la haine, vous stigmatisez encore plus les enfants. C'est comme cela que l'on crée du terrorisme et de la haine. Je trouve cela honteux. Je vous demande de retirer ces amendements, cela vous valoriserait un peu.
Si, parfois, dans la bande dessinée, cela peut prêter à beaucoup d'humour, s'agissant des vaccins, et plus particulièrement de la santé, cela crée un vrai problème. De fait, on ne se pose pas forcément les bonnes questions, notamment celles qui tiennent au rapport entre bénéfices et risques. Mme la ministre l'a rappelé précédemment, un vaccin, c'est un médicament. On oublie quelque peu les avantages qu'apporte un vaccin. Je trouve regrettable que, souvent, dans notre société – étant médecin, je le constate dans mon cabinet – , ce soit après un accident vasculaire cérébral, un infarctus que l'on prenne conscience de l'importance des médicaments ...
Il y en aura bientôt un, et il est important de souligner que l'on meurt encore de cette maladie que l'on qualifiait de moyenâgeuse. Chers collègues, j'aimerais que nous dépassions les clivages et que nous fassions de l'article 34 une victoire commune, transpartisane, contre les maladies et pour la vie, …
Je m'étais d'abord, comme vous, monsieur Door, un peu ému de cet article. Mais, après relecture, il m'apparaît que son périmètre est extrêmement restreint. Le rapporteur général a évoqué l'antibiothérapie et je songe aussi aux prescriptions hors autorisation de mise sur le marché – AMM. Je comprends votre interrogation sur le secret médical, mais cette disposition ne concerne qu'un domaine de prescriptions très restreint, pour lequel, du reste, les médecins avaient déjà à se justifier. S'agissant de l'ordonnance, c'est un document qui doit garder un caractère confidentiel. Il est normal que d'autres professionnels de santé, comme le pharmacien, y ...
J'aimerais que ce débat ne donne pas lieu à des règlements de comptes… Le plan d'accès aux soins présenté par Mme la ministre est, de mon point de vue de médecin généraliste rural, très concret. Plutôt que d'en citer toutes les mesures intéressantes, je m'en tiendrai à un seul aspect, très innovant et que j'aime beaucoup : la confiance. En effet, nous avons dû traverser cinq années pendant lesquelles on s'est essuyé les pieds sur la médecine, et en particulier sur la médecine libérale. À cet égard, quelque chose a vraiment changé : on leur fait confiance. Je crois qu'il faut donner aux médecins et aux professionnels de santé l'envie d'avancer. ...
Je vais vous donner des chiffres très précis : 40 % des médecins sortant de faculté ne font pas de médecine, et seulement 10 % des médecins généralistes décident de s'installer.
Julien Borowczyk Notre ordre du jour étant chargé, je ne me livrerai pas à de longs développements. La commission des affaires sociales a fait un choix majeur en se saisissant pour avis de la question des régimes sociaux et de retraite. Alors que nous avons globalement procédé à une réduction du nombre d'avis budgétaires pour disposer, sur chaque mission, d'une vision globale, la commission a décidé de créer un nouvel avis, jugeant qu'il n'était plus possible de travailler sur la question des retraites en s'intéressant aux seuls acteurs du secteur privé. Je ne doute pas que nos débats de cet après-midi témoigneront de la pertinence de ce choix.
Julien Borowczyk La commission n'étant saisie d'aucun amendement, je mets aux voix les crédits pour 2018 de la mission « Régimes sociaux et de retraite » et du compte d'affectation spéciale « Pensions », qui ont reçu un avis favorable de la rapporteure.
En ce qui concerne les zones démédicalisées, je vous rejoins, madame la ministre, sur le fait que le redéploiement des médecins déjà installés ou en cours d'installation au moyen de missions ponctuelles, parfois d'une seule journée, en un lieu précis, correspond plus aux pratiques actuelles des jeunes médecins. Le regroupement de médecins dans des maisons médicales ne doit pas forcément s'entendre par un lieu unique de pratique : la maison médicale n'est pas nécessairement une entité immobilière unique. Une pratique regroupée peut se concevoir sous la forme d'une équipe pluridisciplinaire axée sur un projet commun, basé sur un parcours complet de ...
Le système « Admission post-bac » a suscité de nombreuses controverses, dont certaines sont certainement arrivées jusqu'à vous. Il imposait en effet une sélection des étudiants sur une base parfois hasardeuse ; ce fonctionnement est bien éloigné des principes républicains et du droit de toutes et tous à accéder à un enseignement et une formation adaptés. Le Gouvernement a annoncé une réforme d'ampleur dès 2018. Cette dernière permettra une meilleure répartition des étudiants, en fonction de leurs souhaits et leurs projets professionnels, de leurs compétences et de leur cursus, mais aussi des débouchés des différentes filières. Avez-vous prévu ...
J'associe à ma question mon collègue Marc Delatte. Le quotidien Le Monde a récemment évoqué la pandémie de diabète touchant 425 millions de personnes sur l'ensemble de la planète ; ce qui a pour corollaire la très forte hausse de la vente de médicaments antidiabétiques. Comme l'a indiqué Mme la ministre des solidarités et de la santé, la priorité dans les enjeux de notre politique de santé est la prévention, singulièrement par l'éducation. Il faut donc privilégier la prévention secondaire certes, mais surtout la prévention primaire, car nous pouvons inverser cette tendance si nous déployons une stratégie adaptée et efficace. La lutte contre la ...
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Cet amendement a du sens – il arrive que l'on s'installe dans un territoire où l'on a fait un stage –, mais son application poserait effectivement un véritable problème, en particulier pour la maquette des stages hospitaliers : la plupart du temps, elle ne pourrait pas être respectée. Enfin, comme le rapporteur, je ne suis pas certain que cela relève de la loi.
Monsieur Garot, c'est avec beaucoup d'intérêt que j'ai lu votre rapport et que je vous ai écouté en présenter les conclusions. Comme vous, je pense que nous devons nous rassembler autour de projets communs pour lutter contre la désertification médicale et je serais ravi de pouvoir travailler avec vous sur d'autres sujets. Malheureusement, si l'auscultation a été de bonne qualité, le traitement est homéopathique… Cela étant, mieux vaut prescrire un traitement homéopathique lorsque le diagnostic est erroné ! Reste que, au final, vous envoyez un message de coercition alors que, répétons-le, la coercition tue l'attractivité. Vous n'avez répondu que ...
Apprendre à lire peut être rébarbatif, mais ça l'est toujours moins que de résoudre des équations à plusieurs inconnues sans calculatrice ! Pour ce qui est du tiers payant généralisé, il me semble que l'on se fourvoie en se focalisant sur le fait que c'est rébarbatif pour les médecins – c'est une évidence. Nous devons plutôt nous efforcer de réduire le temps administratif des médecins, comme M. le rapporteur l'a lui-même souligné. Cela dit, je ne crois pas que les médecins soient arc-boutés sur un problème de nature pécuniaire. Les médecins ont souvent tiré la sonnette d'alarme sur le fait que le tiers payant généralisé risquait de se traduire ...
Madame la présidente, monsieur le secrétaire d'État, monsieur le rapporteur, mes chers collègues, « Ne prends pas la vie trop au sérieux, tu n'en sortiras pas vivant ! » : voilà comment, dans les années 1970-1980, Freudenberger terminait son ouvrage intitulé L'épuisement professionnel : la brûlure interne, consacré au burn-out, ce mal du XXIe siècle que cette proposition de loi nous invite à reconnaître comme maladie professionnelle. L'initiative de cette proposition de loi est louable, en ce sens qu'elle pose le problème de la réalité du burn-out chez bon nombre de nos concitoyens. Il s'agit du reste bien du dessein d'une proposition de loi que de nous ...
Nous sommes loin de la belle unanimité caractérisant habituellement les lois touchant à l'humain et à la santé, ces lois porteuses d'un consensus transpartisan parce qu'elles nous interpellent toutes et tous en ce que nous avons de plus cher en nous : notre âme. Cette âme, ce moi et l'image de ce moi que nous nous renvoyons est peut-être, finalement, la clef de la compréhension du burn-out selon Freudenberger, cette clef qui le disculpe de fait d'une origine professionnelle. En effet, notre épanouissement personnel sous la pression sociétale confine souvent plus au Graal inaccessible qu'à un but atteignable. « À coeur vaillant, rien d'impossible » : voilà ...
Certes, et pour faire écho au début de mon propos, le burn-out existe et se développe chaque jour un peu plus. Nous avons d'ailleurs pu le constater sur ces bancs : certains espéraient des carrières nationales, voire internationales, mâtinées d'une stature de Líder Máximo de l'opposition.
Cette spirale infernale, inextricable, mal délimitée et peu accessible aux traitements fait inéluctablement penser au mal du siècle dernier : les lombalgies qui, comme le burn-out, ont des origines multiples, des causes intriquées, des durées variables et des traitements non déterminés.
J'abrège donc mon propos. Finalement, la reconnaissance du syndrome d'épuisement professionnel dans les tableaux des maladies professionnelles me paraît donc totalement impossible, pour les raisons évoquées précédemment. Ne surestimons donc pas nos capacités intrinsèques à légiférer, car cela aboutit souvent au burn-out et, comme le résumait Louis Aragon, « qui a le goût de l'absolu renonce par là même à tout bonheur ».
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En tant que président du groupe d'études « Santé et numérique », je voudrais vous interroger sur la e-santé. Je vous suis en ce qui concerne l'importance de ce sujet, mais je reste quand même assez prudent : la désertification médicale ne doit pas nous conduire à apporter systématiquement des réponses qui entraîneraient une démédicalisation. La e-santé doit apporter des solutions dont il revient aux médecins et aux professionnels de santé de s'emparer, et je pense que la HAS a vraiment un rôle important à jouer pour certifier les différents dispositifs et éviter des remises en cause de l'accès équitable aux soins prôné dans le cadre de notre ...
Monsieur le ministre de l'éducation nationale, ma question concerne la définition de la carte scolaire, pour la rentrée 2018, dans ma circonscription, la sixième du département de la Loire. Je ne conteste pas qu'il soit nécessaire de dédoubler les classes de cours préparatoire – CP – et de cours élémentaire première année – CE1 – dans les réseaux d'éducation prioritaire – REP – et les réseaux d'éducation prioritaires renforcés – REP+. Les apprentissages fondamentaux dans ce cycle doivent se faire dans les meilleures conditions possibles : à ce titre, le dédoublement des classes ne peut être que plébiscité. Les professeurs des écoles ont ...
Madame la secrétaire d'État chargée des personnes handicapées, en France, 1 % de la population serait atteinte de troubles autistiques et 5 % de troubles neuro-développementaux. Ces chiffres impressionnent. Par ailleurs, il faut aujourd'hui 446 jours entre une demande de diagnostic et la réponse du centre autisme. Or, chacun sait que la prise en charge et le repérage précoces sont essentiels pour l'enfant, afin d'éviter tout sur-handicap et pour lui offrir la chance d'un meilleur développement. Hier avait lieu la Journée mondiale de sensibilisation à l'autisme : si nous portons tous ici, dans l'hémicycle, ce ruban bleu, c'est pour rendre hommage aux personnes ...
Madame la secrétaire d'État, les attentes de toutes ces personnes sont importantes : elles souhaitent une stratégie véritablement nouvelle de prise en charge des troubles autistiques, qui doit renforcer le repérage et améliorer la formation des soignants afin d'assurer un dépistage précoce des troubles autistiques. Cette nouvelle stratégie doit également se donner les moyens d'une démarche inclusive dès le plus jeune âge, grâce à un accompagnement individuel renforcé. Enfin, elle devra, plus que jamais, placer la personne atteinte d'autisme et sa famille au coeur du dispositif, afin de garantir un parcours personnalisé. Madame la secrétaire d'État, ...
Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, hausse du prix du gazole, hausse du prix du super, hausse du prix du tabac, mais aussi hausse du prix des pneus, hausse du prix de la vidange, hausse du prix des péages, …
… hausse du prix des vêtements, de l'électroménager, des loisirs : voilà ce que nous proposaient Les Républicains dans leur programme présidentiel, il y a tout juste un an.
Eh oui, l'augmentation de deux points de la TVA, soit une hausse de 10 % du taux normal de TVA, aurait entraîné mécaniquement l'augmentation de tous les prix. Cette hausse de la TVA aurait d'ailleurs pénalisé deux fois plus les conducteurs. C'est là tout le paradoxe de la proposition de loi. En effet, la TVA s'applique deux fois sur les carburants : une première fois sur le produit brut, puis une nouvelle fois sur la TIPP – taxe intérieure sur les produits pétroliers. Les Français auraient donc subi une double hausse des prix des carburants…
Cela n'existe pas ? Je ne vous le fais pas dire !