Texte de la commission annexé au Rapport N° 1974 sur le projet de loi, adopté par le Sénat, après engagement de la procédure accélérée, d'orientation des mobilités (n°1831).

Amendement N° 1992 (Rejeté)

Publié le 5 juin 2019 par : M. Falorni, M. Acquaviva, M. Brial, M. Castellani, M. Colombani, Mme Dubié, M. El Guerrab, M. Favennec Becot, M. François-Michel Lambert, M. Molac, M. Pancher, Mme Pinel, M. Pupponi, M. Philippe Vigier.

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Compléter l’alinéa 41 par la phrase suivante :

« Par ailleurs, l’État étudie la pérennisation et le développement de l’offre de l’auto-train au regard de son intérêt pour les enjeux climatiques et de sécurité routière. »

Exposé sommaire :

En plein débat sur la transition écologique et le développement durable, il est envisagé la suppression définitive de l’offre de la SNCF de son service auto/train pour la fin de l’année 2019.

La SNCF étudie la possibilité de substituer une offre commerciale de transport routier au mépris total des enjeux climatiques et de la sécurité routière et des réalités financières des utilisateurs du service.

Ainsi pour que la voiture d’un particulier soit transportée par auto-train de Paris vers le Sud de la France, le tarif est de 266 euros. Pour transporter le véhicule en camion avec le service qui est envisagé, il en coûtera 506 euros.

Avec la suppression de ce service, ce ne sera pas moins de 70 000 véhicules et 150 000 passagers, avant tout des personnes âgées, à mobilité plus ou moins réduite et des familles, qui cesseraient d’utiliser le rail pour, essentiellement, prendre la route avec son d’accidents et l’accroissement des pollutions.

Si la suppression de ce service était envisagée, cette décision entraînerait également une perte de 33 emplois.

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