Publié le 21 octobre 2019 par : Mme Louwagie, M. Abad, M. Lurton, Mme Dalloz, M. Pauget, M. Straumann, M. Nury, M. Sermier, Mme Anthoine, Mme Bazin-Malgras, M. Gosselin, M. Hetzel, M. Ramadier, Mme Kuster, M. Masson, Mme Ramassamy, M. Cinieri, M. Dive, Mme Genevard, M. Leclerc, Mme Corneloup, Mme Valérie Boyer, M. de Ganay, M. Saddier, Mme Tabarot, M. Descoeur, M. Bazin, M. Forissier, M. Viala, M. Viry, Mme Valentin, M. Bouchet, Mme Bassire, M. Perrut, Mme Poletti.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après diffusion en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale.
Ce rapport porte notamment sur la prise en compte de l’endométriose dans le cadre du parcours de soins chez la patiente. De trop nombreux cas d’endométriose sont diagnostiqués bien tardivement, entraînant de ce fait d’importantes conséquences physiques et morales. Cette maladie n’est pas inclue dans le programme de première partie de la formation des étudiants en médecine. De ce fait, de nombreux médecins, essentiellement généralistes, rencontrent des lacunes lors de son diagnostic.
Une fois le diagnostic posé, la prise en charge des patientes atteintes d’endométriose, par des professionnels de santé spécialisés dans cette maladie, est essentielle afin de proposer une offre de soins adaptée à la situation de chacune. Une bonne information de la part du médecin généraliste ou du gynécologue concernant la possibilité d’être suivie par un professionnel de l’endométriose est primordiale.
Si la médiatisation de cette maladie s’accroît, une campagne d’information auprès du grand public paraît nécessaire, quand nous savons qu’une femme sur dix est touchée par l’endométriose.
Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cet amendement.