Scandaleux !
Je précise, pour M. Lecoq, que l'acronyme CNDS désigne le Centre national pour le développement du sport…
Je vous en prie. Compte tenu des engagements forts que vient de prendre M. le ministre en matière de développement du sport et plus largement du tissu associatif, je retire mon amendement.
Pour compléter le propos de mon collègue Testé, je rappellerai qu'une chaîne a la résistance de son maillon le plus fragile. Les territoires concernés par les opérations dites ORCOD-IN relèvent de l'urgence sociale. C'est pourquoi je demande à la majorité la plus large de soutenir ces amendements, qui permettront de verser les fonds nécessaires à ces sorties de crise.
Ça faisait longtemps !
Bravo !
Cet amendement, déposé par ma collègue Perrine Goulet, vise à limiter la protection associée à l'adjectif « olympique » et aux termes voisins à leur stricte utilisation dans le contexte des Jeux olympiques. Cela permettrait à nos concitoyens de conserver la liberté de les employer, sachant que ces mots appartiennent à la langue française depuis le XVIe siècle. Ainsi, des équipes comme l'Olympique lyonnais, certains médias – le journal Midi Olympique –, ou éventuellement nous-mêmes dans des phrases comme « je suis dans une forme olympique », pourraient continuer à les utiliser, sur internet par exemple, sans risquer des poursuites inutiles.
Après avoir rappelé notre la fierté d'accueillir les Jeux olympiques en 2024, je veux saluer le travail des différents gouvernements et acteurs. Je tiens également à féliciter tous ceux qui ont participé à l'enrichissement d'un texte qui, présenté par le Gouvernement, permet de cadrer – c'est la première étape, en effet – la meilleure organisation possible pour ces Jeux. Je rappelle également notre responsabilité, en tant que parlementaires, de participer au travail de contrôle et d'évaluation de l'organisation de ces Jeux et d'accompagner le Gouvernement dans la réalisation de toutes les promesses qui ont été faites, en particulier en ce qui ...
Excellent !
Très bien !
Nous faisons partie de l'Europe !
Personne ne l'a comprise !
Madame la présidente, monsieur le ministre, monsieur le président de la commission, madame la rapporteure, nous parlons d'engagement associatif. Qu'est-ce que l'engagement ? C'est de l'amour, du don de son temps au service d'une cause, d'une discipline culturelle, sportive, ou de l'aide aux autres et aux citoyens. Dans quel but ? L'épanouissement et l'émancipation, comme on l'a rappelé à maintes reprises. Le rôle des associations consiste à nous unir autour de valeurs, de projets, et de retrouver la République au sens premier du terme : la res publica, l'esprit collectif. C'est pourquoi on a identifié dans le système associatif une forme du génie français. ...
Nous devons proposer et démontrer à la France que nous pouvons, nous aussi, nous associer pour mener un grand projet systémique et aller plus loin dans les propositions que nous avons formulées ce matin. Ainsi, l'intelligence artificielle au service de l'humain, évoquée par Cédric Villani, pourrait servir, dans le quotidien de tous les bénévoles, à alléger leurs petits tracas administratifs et financiers et à allouer davantage de temps au don à l'autre. Nous irons toujours dans le sens du soutien aux associations. Toute l'action du Gouvernement et de la majorité a un seul objectif : remettre la passion au coeur de la nation.
L'amendement vise à permettre l'accès au service civique des ressortissants algériens résidant légalement en France, sous les mêmes conditions que les étrangers régis par le code de l'entrée et du séjour des étrangers et du droit d'asile, le CESEDA. On réduirait ainsi une inégalité d'accès au service civique, renforçant la cohésion nationale ; on permettrait également à un maximum de jeunes de s'engager et de participer à l'intérêt commun dans le respect et la défense des valeurs de la République. J'en profite pour remercier M. Yannick Blanc, président de l'Agence du service civique et l'association Adéquation Fleury-Mérogis, qui m'ont alerté ...
Très bien !
Ça, c'est vrai !
Je retire cet amendement, qui sera satisfait si l'amendement du Gouvernement est adopté.
Ce sous-amendement vise à porter de 10 à 20 % le montant maximal pouvant être versé au titre du solde de la taxe d'apprentissage aux organismes et associations agissant au plan national pour la promotion de la formation technologique et professionnelle initiale et des métiers.
C'est vrai !
C'est déjà bien !
Très bien !
Excellent !
Je m'adresse aujourd'hui non pas à Mme la secrétaire d'État auprès du ministre de l'économie et des finances, mais à Mme la secrétaire d'État à la santé de nos entreprises. J'ai une très mauvaise à vous annoncer : nous avons tous été infectés par un horrible virus, découvert par un chercheur de la belle ville de Lyon – dont il est beaucoup question en ce moment : n'est-ce pas, monsieur Bonnell ? – qui l'a baptisé par trois lettres : TFW. Avez-vous entendu parler de ce « virus TFW » ? Le T vient de Taylor. En 1911, Frederick Winslow Taylor a exposé l'idée selon laquelle une organisation, pour fonctionner au mieux, devait affecter à ses agents ...
. .. bore-out et brown-out – ce dernier concept est tout récent – vont parfois, malheureusement, jusqu'au suicide. Enfin, cela cause aussi des dégâts économiques : selon certains travaux, les entreprises françaises perdent – plus exactement : elles passent à côté d'un potentiel économique – l'équivalent de 20 000 à 70 000 euros par salarié et par année. Les amendements nos 2819 et 2506 ont pour objet de modifier l'ordonnance du 29 juin 2005 relative à la Banque publique d'investissement afin qu'elle puisse financer des programmes de transformation et d'innovation de rupture non seulement en ce qui concerne la technologie, mais aussi en ce qui ...
L'humain, vous savez, c'est un sujet essentiel.
Et la technologie sans l'humain n'est rien. Par respect pour les chercheurs en sciences humaines qui ont fait ce constat – je remercie, à ce propos, Henri Savall, professeur émérite de l'université de Lyon et fondateur de l'Institut de socio-économie des entreprises et des organisations – et pour les trente-six députés qui ont cosigné cet amendement, je ne peux le retirer. Cela pourrait être considéré, du reste, comme de la non-assistance à croissance en danger.
Je maintiens donc l'amendement, en espérant la bienveillance de Mme la rapporteure et de Mme la secrétaire d'État.
Il est défendu.
Vous me posez un cas de conscience. Mais, compte tenu de l'effort accompli par l'Assemblée nationale, que je remercie vraiment d'avoir adopté l'amendement précédent, je retire celui-ci.
Je me permets de défendre l'amendement de Loïc Kervran, qui vise à élargir le périmètre des actions d'intérêt général à l'accompagnement, l'accès et au maintien dans l'emploi, en le mettant en cohérence avec l'évolution de la société et des politiques publiques.
Nous allons suivre la préconisation de M. le rapporteur général.
Il est défendu.
Je retire l'amendement no 2783 rectifié au profit de l'amendement no 2742.
Il s'agit d'apporter plus de transparence et de lisibilité dans la gestion des fonds de dotation puisque tous ceux dont la valeur des participations excède un certain seuil devront publier un tableau recensant les filiales, les participations et les noms des dirigeants mandataires sociaux des sociétés.
Je maintiens l'amendement.
Il est défendu.
Ça vaut dans les deux sens !
Bravo ! Très bonne réponse !
Ça, c'est sûr !