Dossier sur le site de l'Assemblée
Attribution de la carte du combattant aux soldats engagés en algérie entre le 2 juillet 1962 et le 1er juillet 1964
Organisation du dossier
Documents législatifs
- Proposition de loi N° 232 (6 amendements)
- Rapport N° 820 de la Commission de la défense nationale et des forces armées
Les débats consacrés à ce dossier
Les principaux orateurs sur ce dossier :
- Gilles Lurton, rapporteur de la commission de la défense nationale et des forces armées (3827 mots)
- Fabien Gouttefarde (2296 mots)
- Elsa Faucillon (1561 mots)
- Yannick Favennec-Bécot (1398 mots)
- Jean-Pierre Cubertafon (1309 mots)
- Alexis Corbière (1258 mots)
- Guillaume Gouffier-Cha (1186 mots)
- Véronique Louwagie (1044 mots)
- Sébastien Chenu (980 mots)
- Marie Tamarelle-Verhaeghe (976 mots)
- Bastien Lachaud (974 mots)
- Claude de Ganay (952 mots)
- Julien Aubert (941 mots)
- Daniel Labaronne (890 mots)
- Valérie Rabault (811 mots)
- Christophe Lejeune (694 mots)
- Patrice Verchère (479 mots)
- Luc Carvounas (269 mots)
- Carole Bureau-Bonnard, présidente (231 mots)
Derniers commentaires sur Attribution de la carte du combattant aux soldats engagés en algérie entre le 2 juillet 1962 et le 1er juillet 1964
Suite aux propos de Gilles Lurton le 05/04/2018, Laïc1 a dit le 18/04/2018 :
Combattant en temps de paix alors, puisque la France était officiellement en paix avec l'Algérie à partir du 2 (ou 3) juillet 1962, avec la reconnaissance de l'indépendance de l'Algérie. Et peut-on appeler combattant quelqu'un qui combattait en temps de paix, puisqu'il n'y avait pas de guerre ? ...
Lire dans le contexte Voir tous ses commentaires