Interventions sur "surveillance"

460 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Michel-Kleisbauer, président :

Excusez-moi, car je ne veux pas dériver de notre enquête sur ce vecteur qui est une tique. Mais, en gros, si nous avons quelque part un certain nombre de cas qui venaient à apparaître, votre système de surveillance syndromique ASTER nous permettrait de savoir qu'il y a une zone dans laquelle sont apparus des cas qui nécessitent l'attention. Est-ce bien cela ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRamlati Ali, rapporteure :

Votre dispositif de surveillance entomologique comprend un outil de collecte de signalement des moustiques par des particuliers. Est-il déployé partout en France ? Comment est-il utilisé ? Quelle est son efficacité ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRamlati Ali, rapporteure :

Pensez-vous qu'il faille envisager la création d'une agence dédiée à la lutte contre les vecteurs et/ou les arbovirus ? Quelles missions devraient lui être confiées : la recherche, l'expertise, le conseil, la contribution à la surveillance épidémiologique, l'alerte, la lutte anti-vectorielle, la réponse aux épidémies ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRamlati Ali, rapporteure :

... feuille de route, comme vous le savez, prévoit ainsi notamment de mêler des travaux méthodologiques destinés à évaluer l'efficacité et l'impact des actions de lutte anti-vectorielle, de réaliser des évaluations des risques en fonction de situations épidémiques, de travailler sur la problématique de la résistance des moustiques vecteurs aux différents insecticides ou encore à l'amélioration de la surveillance spatio-temporelle des vecteurs. Pouvez-vous nous communiquer le détail de cette feuille de route ? Comment va-t-elle être mise en œuvre ? Avec quels moyens dédiés ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSereine Mauborgne, présidente :

...litiques publiques à mener contre la propagation des moustiques Aedes et des maladies vectorielles. Nous allons entendre aujourd'hui deux représentantes de Santé publique France, le Docteur Henriette de Valk, responsable de l'unité des infections zoonotiques, vectorielles et alimentaires au sein de la direction des maladies infectieuses, et le Docteur Marie-Claire Paty, coordinatrice de la surveillance des maladies vectorielles au sein de la direction des maladies infectieuses. L'agence Santé publique France exerce des missions de surveillance, d'alerte et d'information sur les risques épidémiques. La crise sanitaire en cours conduit à s'interroger sur l'organisation française en la matière. Mesdames, je vous souhaite la bienvenue et je vous remercie de prendre le temps de répondre à nos ques...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Michel-Kleisbauer, président :

...e des armées, dépendant du service de santé des armées (SSA). Les 44 centres nationaux de référence pour la lutte contre les maladies transmissibles sont des laboratoires localisés au sein d'établissements publics ou privés de santé, d'enseignement ou de recherche. Ils sont nommés pour cinq ans par le ministre chargé de la santé. Ils ont pour mission l'expertise, le conseil, la contribution à la surveillance épidémiologique et l'alerte. Pour les arbovirus, ces missions sont confiées à l'institut de recherche biomédicale des armées, avec deux laboratoires associés en Guyane et à La Réunion. Madame, je vous laisse la parole pour une intervention liminaire de dix à quinze minutes qui précèdera notre échange sous forme de questions et réponses. Je vous remercie également de nous déclarer tout intérêt pu...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRamlati Ali, rapporteure :

Les CNR ont quatre missions, vous l'avez dit, qui sont l'expertise, le conseil, la contribution à la surveillance épidémiologique, l'alerte. Quelles actions sont menées pour chacune de ces missions ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRamlati Ali, rapporteure :

Quels sont les organismes, instances ou agences qui sont les destinataires de vos travaux de surveillance épidémiologique dans le domaine de la santé, dans le domaine de la défense et dans les autres domaines concernés ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRamlati Ali, rapporteure :

La coopération des services de santé publique vétérinaire et humaine vous paraît-elle satisfaisante, s'agissant de West Nile ? Quelles améliorations pourrait-on apporter ? Serait-il nécessaire de renforcer cette collaboration en matière de surveillance épidémiologique et de réaction sanitaire à une crise épidémique ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarine Le Pen :

...n peu inquiétant, parce que toutes les procédures dont nous discutons aujourd'hui et sur lesquelles nous interrogeons les divers agents, les divers relais de la sécurité, sont fondées au départ sur la qualité de la connaissance des mosquées radicales. Si l'on n'est pas capable de déterminer ce qu'est une mosquée radicale, alors on n'est pas capable de détecter celles qui doivent être placées sous surveillance, ni, par exemple, si un agent fréquente cette mosquée radicale. Dans l'affaire Harpon, c'est un élément extrêmement important. Il y a eu une double défaillance, on peut le dire aujourd'hui : une défaillance des collègues et de la hiérarchie, qui n'ont pas révélé des propos qui avaient été tenus, ni des comportements qui répondent exactement aux critères que vous avez évoqués. Et parallèlement, il...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarine Le Pen :

Vous nous dites que la fiche S est un outil. Mais encore faut-il l'utiliser. La vraie question que l'on se pose depuis des semaines dans cette commission, est : pourquoi une mosquée qui est dirigée par un fiché S n'attire pas suffisamment l'attention ou en tout cas ne déclenche pas cet outil de surveillance ? Dans une mosquée, il n'y a pas qu'un seul imam, il y en a un certain nombre. Pourquoi ceux des fidèles qui ne viennent qu'auprès de cet imam fiché ne font-ils pas eux-mêmes l'objet au moins d'une vérification ou d'une surveillance ? Dans cette affaire, tous les vendredis matin, Mickaël Harpon allait aux prêches de ce fiché S précisément. Et, malgré cela, il n'a pas fait l'objet d'une détection ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaFlorent Boudié, rapporteur :

Donc, sans caricaturer, une mosquée dont l'imam principal est Frère musulman et dont l'un des imams secondaires est salafiste n'est pas en soit l'objet d'une surveillance particulière ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGuillaume Larrivé :

Je voudrais rebondir sur un échange que vous avez eu avec le rapporteur, à propos des critères de surveillance des mosquées. Vous nous avez dit en substance, et je ne veux pas déformer vos propos, que la mosquée de Gonesse ne faisait pas l'objet d'une surveillance en soi. Et vous avez même précisé que la circonstance que le numéro un de la mosquée soit un Frère musulman et que son numéro deux soit un salafiste ne constituait pas en soi le motif d'une surveillance. Vous avez dit « signe d'attention et n...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaRamlati Ali, rapporteure :

...rielles associées (essentiellement la dengue, le Zika, le chikungunya, la fièvre jaune, le virus du Nil occidental) ; – évaluer les politiques de prévention sous leur double aspect : la prévention de la propagation et de la prolifération des moustiques ; les mesures de prévention des épidémies de maladies vectorielles ; – évaluer les politiques publiques, comprenant notamment les dispositifs de surveillance et d'alerte et les dispositifs de lutte contre les arboviroses, et notamment les plans ORSEC mis en oeuvre pour lutter contre les épidémies. Le temps qui nous est imparti est compté : la résolution créant la commission d'enquête ayant été adoptée le 12 décembre dernier, notre rapport devra être adopté au plus tard début juin. Afin de commencer à planifier les auditions à réaliser, j'ai donc déj...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉric Woerth, président :

J'ai reçu ce mardi 17 décembre, du Président de l'Assemblée nationale, une lettre m'informant qu'il envisage de désigner Mme Michèle Pappalardo et M. Jean Pisani-Ferry pour siéger à la commission de surveillance de la Caisse des dépôts et consignations. Je vous rappelle qu'en vertu du 6° de l'article L. 518-4 du code monétaire et financier, le Président de l'Assemblée nationale désigne à la commission de surveillance de la Caisse des dépôts et consignations trois membres « en raison de leurs compétences dans les domaines financier, comptable ou économique ou dans celui de la gestion (…) après avis public...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉmilie Cariou :

...e m'interroge : pourquoi, hier, nous avons procédé à l'audition de Mme Frédérique Bec, qui doit être nommée par le président de l'Assemblée nationale au Haut Conseil des finances publiques sans que nous ayons à voter, alors que nous ne procédons pas aujourd'hui à l'audition de Mme Pappalardo et de M. Pisani-Ferry qui doivent être nommés par le président de l'Assemblée nationale à la commission de surveillance de la Caisse des dépôts et consignations après que la commission a émis un avis public ? Cela nous empêche d'examiner les questions relatives à leur compétence et aux éventuels conflits d'intérêt.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaÉric Woerth, président :

Dans le cas du Haut Conseil des finances publiques, la loi organique qui l'institue prévoit expressément que la nomination est précédée d'une « audition ». Il convient donc d'auditionner la personne. Pour les nominations à la commission de surveillance de la Caisse des dépôts et consignations, le texte de loi évoque uniquement un « avis public de la commission des finances ». Je pensais initialement appliquer l'article 29-1 du Règlement, ce qui nous aurait conduits à nommer un rapporteur, à auditionner la personne et à procéder à un vote sur cette nomination. Mais la présidence de l'Assemblée nationale a interprété juridiquement l'article L. 51...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJacques Savatier :

Je veux donner mon avis public sur ces propositions de nomination, car cela fait deux ans et demi que je participe à la commission de surveillance de la Caisse des dépôts et consignations. Avec Gilles Carrez, nous avons réfléchi au profil des personnalités qualifiées qui doivent être nommées à la commission de surveillance, afin qu'elles aient des compétences complémentaires et permettent à la commission d'exercer au mieux ses missions, qui ont été récemment renforcées puisqu'elle rend désormais des avis délibératifs. Nous pensons qu'il est...