Publié le 2 avril 2021 par : Mme Six, M. Benoit, M. Guy Bricout, M. Brindeau, Mme Descamps, M. Dunoyer, M. Favennec-Bécot, M. Gomès, M. Meyer Habib, M. Labille, M. Lagarde, M. Morel-À-L'Huissier, M. Naegelen, Mme Sanquer, Mme Thill, M. Villiers, M. Warsmann, M. Zumkeller.
Supprimer cet article.
Cet article vise à instaurer une hiérarchisation des proches quand le médecin, lorsqu’il est envisagé de limiter ou d’arrêter les traitements, doit recueillir leur témoignage car le patient est hors d’état d’exprimer sa volonté et en l’absence de directives anticipées et d’une personne de confiance.
Il nous semble que cette organisation stricte par degré de proximité fixe un cadre trop rigide qui risque de ne pas être applicable face à la diversité et la multiplicité des organisations et relations familiales.
La rédaction de directive anticipées et la désignation d’une personne de confiance doivent faire l’objet de campagne de médiatisation pour que les situations tragiques que cet article vise à prévenir ne se répètent pas en France.
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