Publié le 12 mars 2019 par : M. Berta, M. Isaac-Sibille, Mme Benin, Mme de Vaucouleurs, Mme Elimas, M. Hammouche, M. Mignola, M. Balanant, Mme Bannier, M. Barrot, M. Baudu, M. Bolo, M. Bourlanges, M. Bru, M. Cubertafon, Mme de Sarnez, Mme Deprez-Audebert, M. Duvergé, Mme El Haïry, Mme Essayan, M. Fanget, Mme Florennes, M. Fuchs, Mme Gallerneau, M. Garcia, Mme Jacquier-Laforge, M. Joncour, M. Lagleize, M. Lainé, M. Laqhila, Mme Lasserre-David, M. Latombe, Mme Luquet, M. Mathiasin, M. Mattei, Mme Mette, M. Michel-Kleisbauer, M. Millienne, M. Pahun, M. Frédéric Petit, Mme Maud Petit, Mme Poueyto, M. Ramos, M. Turquois, Mme Vichnievsky, M. Waserman.
I. – À l'alinéa 2, après le mot :
« odontologie »,
insérer les mots :
« en masso-kinésithérapie ».
II. – En conséquence, procéder à la même insertion aux alinéas 4 et 5, 8 et 9, 12 à 15, 22 et 25.
Cet amendement vise à intégrer la formation initiale des masseurs-kinésithérapeutes dans le socle commun des études en santé afin de favoriser une collaboration future plus étroite entre les professionnels de santé. Il va dans le sens du rapport sur la refonte du premier cycle des études de santé pour les “métiers médicaux” remis par M. Jean-Paul Saint-André le 17 décembre 2018 qui estime que « l'admission dans les études de Masso-Kinésithérapie, qui a lieu actuellement après une première année universitaire (majoritairement PACES) doit faire partie du futur dispositif au même titre que l'admission dans les filières MMOP ».
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