Publié le 2 décembre 2021 par : M. Barrot, M. Loiseau, Mme Jacquier-Laforge, M. Balanant, Mme Bannier, Mme Benin, M. Berta, M. Blanchet, M. Bolo, M. Bourlanges, Mme Brocard, M. Bru, M. Corceiro, Mme Crouzet, M. Cubertafon, Mme Yolaine de Courson, Mme de Vaucouleurs, Mme Deprez-Audebert, M. Duvergé, Mme Essayan, M. Fanget, Mme Florennes, Mme Fontenel-Personne, M. Fuchs, M. Garcia, Mme Gatel, M. Geismar, Mme Goulet, M. Hammouche, M. Isaac-Sibille, M. Jerretie, M. Joncour, Mme Josso, M. Lagleize, M. Lainé, M. Laqhila, Mme Lasserre, M. Latombe, Mme Luquet, M. Mathiasin, M. Mattei, Mme Mette, M. Michel-Kleisbauer, M. Mignola, M. Millienne, M. Pahun, M. Frédéric Petit, Mme Maud Petit, Mme Poueyto, M. Pupponi, M. Ramos, Mme Thillaye, Mme Tuffnell, M. Turquois, Mme Vichnievsky, M. Philippe Vigier, M. Waserman.
I. – Les articles L. 3322‑5, 3351‑3, 3822‑3, 3832‑1 du code de la santé publique sont abrogés.
II. – Le dernier alinéa de l’article L. 1812 du code général des impôts est abrogé.
Les dispositions de ces articles sont devenues caduques en raison de la suppression du régime particulier qui s’attachaient à ces essences et qui a été abrogé lors de la loi de finances pour 2020. Il convient donc de procéder, en cohérence, à leur abrogation dans le code de la santé publique et le code général des impôts.
Ces essences font l’objet d’un encadrement spécifique par le code de la santé publique et ces dispositions sont redondantes et obsolètes. Cette incohérence est source de complexité administrative et de surcoûts (usage dédié de machines à timbrer) pour les entreprises du secteur qui sont contraintes d’assurer suivi administratif inutile puisque ces entreprises ne sont désormais plus assujetties aux taxes liées à l’utilisation d’Anéthol. L’amendement présenté permet ainsi de clarifier le cadre applicable à ces essences.
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