Tous les résultats

Affiner par date : entre juin 2017 et juillet 2024

S'abonner aux résultats
de cette recherche

e-mail
par e-mail
Flux rss
par RSS

Rechercher par législature

Affiner la recherche

Filtrer par type de résultat

Filtrer par sort de l'amendement

Filtrer par député

Résultats 1 à 50 sur 823 triés par pertinence — trier par date

Amendement N° 1337C au texte N° 235 - Après l'article 55 (Rejeté)

Les révélations publiées actuellement par le Consortium international des journalistes d'investigation, dont le journal Le Monde, appelées Paradise Papers, montrent l'ampleur de l'optimisation fiscale pratiquée par les multinationales. Le professeur d'économie Gabriel Zuckman estime que cette optimisation représente 40 % des profits réalisés par ces multinationales, soit un manque à gagner pour les États qui dépasse les 350 milliards d'euros par an, dont 120 milliards d'euros pour l'Union européenne et 20 milliards d'euros pour la France. La lutte contre la fraude et l'optimisation fiscales doit donc être au cœur des priorités du Gouvernement, comme cela a été le cas entre ...

Consulter

Amendement N° 24 au texte N° 268 - Article 10 (Retiré)

L'article 10 institue deux objectifs en matière de finances locales et une procédure de contractualisation avec les collectivités ou groupements les plus importants. Cet amendement vise à ce que ces deux objectifs soient déclinés par catégorie de collectivités territoriales et par catégorie d'établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre pour tenir compte de la situation financière de ces différentes catégories. Après l'alinéa 11, insérer l'alinéa suivant :« Dans le cadre d'un dialogue entre l'État et les collectivités territoriales, les objectifs d'évolution des dépenses de fonctionnement et du besoin de financement sont déclinés ...

Consulter

Amendement N° 1158 au texte N° 269 - Après l'article 26 (Irrecevable)

Amendement irrecevable au titre de l'article 40 de la constitution. Mme Manin, Mme Bareigts, Mme Biémouret, M. Letchimy, M. Carvounas, M. Alain David, Mme Untermaier, M. Dussopt, M. Hutin, Mme Vainqueur-Christophe, M. Potier, M. Juanico

Consulter

Amendement N° 776C au texte N° 235 - Article 29 (Rejeté)

De façon brutale et idéologique, le Gouvernement a décidé de financer 200 000 contrats aidants en 2018 contre 320 000 en 2017. Cette décision est brutale. Brutale vis-à-vis des personnes bénéficiant de ces contrats auxquelles vous dites qu'elles occuperaient des emplois inutiles, coûteux et inefficaces. Au motif de « faux emplois », le gouvernement va faire des vrais chômeurs. Brutale vis-à-vis des acteurs de la solidarité qui n'ont jamais été consultés sur ce coup de rabot aveugle et généralisé sur les contrats aidants. Brutale vis-à-vis de nos territoires pour lesquels les conséquences seront graves et irréversibles. A titre d'exemple, la mairie d'une ville de 6 000 ...

Consulter

Amendement N° AC20C au texte N° 235 - Après l'article 55 (Irrecevable)

Amendement irrecevable au titre de l'article 40 de la constitution. Mme Pau-Langevin, M. Dussopt, Mme Biémouret, M. Juanico, Mme Manin

Consulter

Amendement N° 1098C au texte N° 235 - Après l'article 63 (Tombe)

Le décret n°2013‑549 du 26 juin 2013, relatif à l'expérimentation d'emplois francs, avait permis l'instauration d'un premier dispositif d'emplois francs expérimenté sur les années 2013 et 2014. Alors que seuls 276 emplois francs avaient été signés au 29 août 2014, la loi de finances pour 2015 a acté leur disparition en réorientant les moyens vers des dispositifs de droit commun. Il apparaît que l'échec du dispositif est notamment le fait de l'insuffisante mobilisation de Pôle Emploi et de la concurrence d'autres dispositifs mis en œuvre concomitamment. Face au défi que représente le chômage et en particulier le chômage des jeunes dans les quartiers prioritaires de la ...

Consulter

Amendement N° 1478C au texte N° 235 - Après l'article 60 (Retiré)

L'article 141 de la loi de Finances pour 2017 a modifié les critères d'attribution de la Dotation Politique de la Ville. Avant l'entrée en vigueur de cette loi, les communes devaient être éligibles à la Dotation de Solidarité Urbaine (DSU) et compter au moins 19 % de logements sociaux. L'article susmentionné a conditionné l'accès à la Dotation Politique de la Ville aux communes éligibles à la DSU « cible ». Ce dispositif avait alors été adopté sans étude d'impact financier, contre l'avis du Gouvernement et de la rapporteure du projet de loi de Finances. La non-éligibilité à la DSU cible prive ainsi 8 communes de moins de 10 000 habitants classées parmi les 100 plus ...

Consulter

Amendement N° 155 au texte N° 369 - Article 4 (Rejeté)

Par le présent amendement nous souhaitons revenir à l'organisation antérieure du dialogue social dans l'entreprise. En2015, une réforme structurelle, dite loi Rebsamen, a procédé à des modifications importantes que le Parement n'a pas encore pris le temps d'évaluer. Vous proposez la fusion des institutions au sein d'une même instance : le comité social et économique. Mise en place dans les entreprises d'au moins 11 salariés elle dispose d'attributions différentes en fonction de la taille de l'entreprise : de 11 à 49 salariés et au-delà de 49 salariés. Les syndicats de salariés ont rappelé qu'ils n'étaient pas demandeurs de cette fusion au-delà de celle prévue par ...

Consulter

Amendement N° 1021A au texte N° 235 - Après l'article 10 (Rejeté)

L'investissement et l'emploi reposent fortement sur les petites et moyennes entreprises (PME), mais ce sont celles qui contribuent le plus à l'impôt sur les sociétés en proportion de leurs bénéfices. En effet, le taux « affiché » d'impôt sur les sociétés n'est pas celui qui est effectivement payé par les entreprises, qui peuvent faire jouer certaines déductions. Ainsi, il est de 39,5 % pour les PME contre 18,6 % pour les grandes entreprises. Ce n'est pas le cas dans le reste du monde, comme au Canada et aux États-Unis, où le taux d'impôt baisse avec la taille de l'entreprise. En France, les entreprises ayant un chiffre d'affaire de moins de 7,6 millions € payent un taux ...

Consulter

Amendement N° 1471C au texte N° 235 - Après l'article 59 (Rejeté)

L'article L. 2334‑37 du CGCT dispose actuellement que l'ensemble des députés et sénateurs élus dans un département, lorsque ce dernier compte moins de cinq parlementaires, sont membres de droit de la commission DETR institué auprès du préfet de département. À compter du 1er janvier prochain, lorsque le département compte cinq parlementaires ou plus, deux députés et deux sénateurs seulement sont désignés. Cet amendement vise à permettre à tous les parlementaires d'un département d'être membres de droit de la commission DETR mais plafonne à cinq le nombre de parlementaires ayant voix délibérative. Au début de chaque réunion de la commission, un tirage au sort ...

Consulter

Amendement N° 205 au texte N° 369 - Article 6 (Rejeté)

Les entreprises de plus de 1 000 salariés peuvent procéder à des licenciements avant le transfert d'une entité économique autonome, en cas d'offre de reprise présentée au CE – une exception à l'obligation de transférer les contrats de travail qui visait à faciliter les reprises. L'article élargit cette faculté de licencier préalablement au transfert à toutes les entreprises soumises à l'obligation de négocier un PSE – soit dès cinquante salariés – et non plus uniquement aux entreprises de plus de 1 000 salariés. Le seuil de cinquante salariés est très bas. En effet, contrairement aux très grandes entreprises, on peut craindre que les financements pour les mesures ...

Consulter

Amendement N° 1772C au texte N° 235 - Article 44 (Rejeté)

L'article 44 supprime le taux supérieur de la taxe sur les salaires. Cette tranche additionnelle de 20 %, créée par la LFSS 2013, est aujourd'hui applicable à la fraction des rémunérations excédant 152 279 euros. Pour le Gouvernement, la suppression de la tranche marginale de la taxe sur les salaires a vocation à favoriser l'implantation en France d'activités à haute valeur ajoutée et le recrutement de cadres étrangers à fort potentiel par les entreprises françaises. Cet article représentera une perte de recettes fiscales pour les finances publiques de 140 millions d'euros en 2018 (supportée par la Sécurité sociale) et de 80 millions les années suivantes. Le groupe ...

Consulter

Amendement N° 1223A au texte N° 235 - Après l'article 6 (Rejeté)

Cet amendement vise à appliquer les conclusions du Comité Interministériel à l'Egalité et à la Citoyenneté (CIEC) du 6 mars 2015. Aujourd'hui, dans les QPV, le logement intermédiaire est la seule typologie de logements à ne bénéficier que d'un taux de TVA à 10 %. Or, le logement intermédiaire est potentiellement un excellent outil de mixité sociale dans ces quartiers au regard du profil des ménages auxquels il s'adresse. D'autant plus que l'obligation de construction de 25 % de logements sociaux dans les opérations de logement intermédiaire dans ces quartiers a été assouplie. La réduction du taux de TVA à 5,5 % pour la construction de logements intermédiaires dans les ...

Consulter

Sous-Amendement N° 1888C à l'amendement N° 1576C au texte N° 235 - Après l'article 61 (Tombe)

L'amendement N°II-1576 vise à revenir en partie sur la réforme de la Dotation politique de la ville instaurée en 2017. Cette réforme visait à mieux cibler cette dotation sur les communes de la politique de la ville les plus en difficulté. En effet, les simulations réalisées au moment de l'examen du PLF 2017 laissaient voir que des communes classées au-delà du 350e rang DSU, seraient bénéficiaires du dispositif quand d'autres, classées dans les 100 premières, en sortiraient. Si la DPV est une dotation liée à la politique de la ville et non spécifiquement à des critères de richesse comme la DSU, cette dernière demeure un bon indicateur. Ainsi, il a été estimé à ...

Consulter

Amendement N° CF420A au texte N° 235 - Article 12 (Rejeté)

Avec l'article 12, le Gouvernement prévoit de remplacer l'ISF par un impôt sur la fortune immobilière (IFI). Les personnes imposables, le critère de seuil d'assujettissement de 1 300 000 €, la date du fait générateur de l'impôt au 1er janvier de chaque année, le barème progressif applicable à compter de 800 000 € d'actifs et les principales modalités de liquidation de l'impôt seront ceux applicables à l'ISF. Le plafonnement de l'impôt sur le patrimoine et des autres impositions acquittées par le contribuable a 75 % du montant des revenus de l'année précédente, ainsi que la réduction de l'IFI dans les cas de double imposition au titre d'un immeuble situe à l'étranger ...

Consulter

Amendement N° 429 au texte N° 106 - Article 1er (Tombe)

L'article 1er du projet de loi rétablissant la confiance dans l'action publique avait pour objet d'étendre le champ d'application de la peine complémentaire obligatoire d'inéligibilité. En commission des lois de l'Assemblée nationale, un amendement de réécriture générale de l'article a été adopté. Il reprend le dispositif contenu dans la proposition de loi visant à instaurer une obligation de casier judiciaire vierge pour les candidats à une élection locale portée par le groupe socialiste sous la précédente législature. Cette proposition de loi avait été adoptée à l'unanimité des groupes sur les bancs de l'Assemblée nationale le 1er février 2017. L'article 1er ...

Consulter

Amendement N° 191 au texte N° 369 - Article 6 (Rejeté)

Nous proposons d'améliorer l'indemnité allouée aux salariés en cas de non-respect par l'employeur de ses obligations relatives à la protection de la grossesse et de la maternité. Après l'alinéa 2, insérer l'alinéa suivant :« 1°bis À l'article L. 1225‑71, après le mot : « indemnité », sont insérés les mots : « ,qui ne peut être inférieure aux salaires des douze derniers mois de » ; ». M. Vallaud, M. Aviragnet, Mme Bareigts, Mme Vainqueur-Christophe, Mme Batho, Mme Battistel, Mme Biémouret, M. Bouillon, M. Jean-Louis Bricout, M. Carvounas, M. Alain David, Mme Laurence Dumont, M. Dussopt, M. Faure, M. Garot, M. David Habib, M. Hutin, M. Juanico, Mme Karamanli, ...

Consulter

Amendement N° 1775C au texte N° 235 - Après l'article 48 (Irrecevable)

Amendement irrecevable au titre de l'article 40 de la constitution. Mme Rabault, Mme Pires Beaune, M. Juanico, M. Dussopt, M. Carvounas, Mme Battistel, M. Jean-Louis Bricout, M. Le Foll, M. Saulignac, M. Hutin, Mme Karamanli, M. Potier

Consulter

Amendement N° 781C au texte N° 235 - Article 29 (Irrecevable)

Amendement irrecevable au titre de l'article 40 de la constitution. M. Vallaud, M. Aviragnet, Mme Bareigts, Mme Vainqueur-Christophe, Mme Batho, Mme Battistel, Mme Biémouret, M. Bouillon, M. Jean-Louis Bricout, M. Carvounas, M. Alain David, Mme Laurence Dumont, M. Dussopt, M. Faure, M. Garot, M. David Habib, M. Hutin, M. Juanico, Mme Karamanli, M. Jérôme Lambert, M. Le Foll, M. Letchimy, Mme Manin, Mme Pau-Langevin, Mme Pires Beaune, M. Potier, M. Pueyo, M. Pupponi, Mme Rabault, M. Saulignac, Mme Untermaier

Consulter

Amendement N° 36 rectifié au texte N° 363 - Après l'article 1er (Rejeté)

En 2005, lors de l'examen de la loi de finances initiale pour 2006, le législateur s'est saisi de la question du niveau des intérêts moratoires qui s'applique. C'est ainsi que l'article 19 de la loi de finances pour 2006 a modifié ce niveau, en l'abaissant de 0,75 % par mois à 0,40 % par mois soit 4,8 % par an : « Le taux de l'intérêt de retard est de 0,40 % par mois. Il s'applique sur le montant des créances de nature fiscale mises à la charge du contribuable ou dont le versement a été différé ». Au moment de cette modification, le niveau des OAT 10 ans était à 4 % et l'inflation à 2 %. Ce niveau des intérêts moratoires n'a pas été modifié depuis 2005 alors même que ...

Consulter

Amendement N° CL10 au texte N° 169 - Après l'article 1er (Rejeté)

Cet amendement vise à donner une définition plus substantielle de la notion de groupe d'opposition. En effet, alors que le statut de groupe d'opposition ouvre un ensemble de droits spécifiques (présidence de la commission des finances etc…), le bénéfice de ce statut ne repose que sur une déclaration qui peut n'avoir aucune correspondance sérieuse avec la réalité. En l'état donc, notre règlement rend possible un détournement de l'esprit de la règle : un groupe majoritaire pourrait très bien inviter un certain nombre de ses membres à former un groupe qui se déclarerait d'opposition. Cet amendement propose ainsi de se prémunir contre ce type de détournement : ne pourrait ...

Consulter

Amendement N° 1033A au texte N° 235 - Article 11 (Rejeté)

Cet amendement de repli vise à préserver la fiscalité actuellement applicable aux PEL/CEL (exonération d'IR jusqu'aux 12 ans des PEL et exonération d'IR sur les CEL) et la prime d'épargne logement. L'article 11 est un cadeau fiscal du Gouvernement aux plus aisés d'un montant au minimum de 9 milliards d'euros sur tout le quinquennat. Il est dans le même temps un article qui s'attaque à l'épargne populaire des Français. Cela n'est pas surprenant de la part d'un Gouvernement dont la majorité à l'Assemblée nationale considère le PEL comme un placement « toxique ». Cet amendement s'inscrit dans le cadre du contre-budget présenté par le groupe Nouvelle Gauche : http ...

Consulter

Amendement N° 35 au texte N° 268 - Article 26 (Retiré avant séance)

Le suivi des PIA 1 et 2 montre qu'il existe une confusion entre « argent décaissé » (le cash) et engagement pris. Afin d'éviter de sommer des montants de nature différente, cet amendement vise à demander explicitement que cette différentiation soit bien prise en compte dans le rapport que le Gouvernement propose, par cet article, de remettre au Parlement. Compléter cet article par la phrase suivante :« Pour chaque mesure financée, il détaille la part qui correspond à des crédits décaissés l'année en cours et la part qui correspond à des engagements futurs. ». Mme Rabault, M. Jean-Louis Bricout, Mme Pires Beaune, M. Pupponi, M. Faure, M. Aviragnet, Mme Bareigts, Mme ...

Consulter

Amendement N° AS71 au texte N° 237 - Après l'article 1er (Rejeté)

L'ordonnance relative au renforcement de la négociation collective nous semble bien mal porter son nom. Cette réforme aurait pu faire évoluer la culture du dialogue social et être une étape nouvelle de la sécurisation des parcours. Elle aurait dû faire le pari de la confiance entre ses acteurs, employeurs et salariés, quitte à bousculer les stéréotypes patronaux. Le gouvernement n'a pas fait ce choix. Alors qu'il faudrait renforcer les moyens d'un dialogue social constructif, efficace, à armes égales le gouvernement a privilégié la flexibilité au détriment de la justice sociale. Cette ordonnance établit la règle de primauté de l'accord d'entreprise et réorganise la ...

Consulter

Amendement N° 363C au texte N° 235 - Après l'article 52 (Adopté)

Le présent amendement vise à traduire l'engagement du Président de la République de porter l'enveloppe du Nouveau programme national de renouvellement urbain (NPNRU) à 10 milliards d'euros. Cet engagement a été réaffirmé par le gouvernement devant la représentation nationale et confirmé dans les documents budgétaires se rapportant à la mission « Cohésion des territoires ». Il s'agit d'une excellente mesure qui permettra d'assurer un financement de l'ANRU au niveau des besoins des projets prévus dans le programme, à condition que les crédits budgétaires nécessaires soient bien inscrits au sein du programme 147. Seuls 15M€ de crédits sont à ce stade prévus au PLF ...

Consulter

Amendement N° 1851C au texte N° 235 - Après l'article 46 (Rejeté)

Cet amendement a déjà été déposé à l'occasion du PLF 2015. La récente publication des Paradise papers par un consortium de journalistes le rend pleinement d'actualité. En effet, cet amendement a pour objet d'instaurer une obligation de déclaration de certaines opérations à la charge des conseils d'entreprise. Ce procédé permettant la meilleure information de l'administration fiscale a notamment été préconisé dans de nombreux rapports parlementaires (Migaud 2009, Bocquet 2011, Muet 2013). Par ailleurs ce type de déclarations est déjà effectif dans 8 pays : UK, Canada (depuis 1989, renforcé en 2013), États-Unis (depuis 1984), Irlande, Portugal, Afrique du Sud, Israël, ...

Consulter

Amendement N° 70 au texte N° 174 - Avant l'article 1er (Adopté)

Amendement de précision. Compléter le titre du chapitre Ier par les mots :« en application de l'Accord de Paris ». Mme Batho, M. Bouillon, M. Garot, M. Saulignac, M. Faure, M. Aviragnet, Mme Bareigts, Mme Battistel, M. Jean-Louis Bricout, M. Carvounas, M. Alain David, Mme Laurence Dumont, M. Dussopt, M. Hutin, M. Juanico, Mme Karamanli, M. Jérôme Lambert, M. Le Foll, M. Letchimy, Mme Manin, Mme Pau-Langevin, Mme Pires Beaune, M. Potier, M. Pueyo, M. Pupponi, Mme Rabault, Mme Untermaier, Mme Vainqueur-Christophe, M. Vallaud

Consulter

Amendement N° AS87 au texte N° 237 - Après l'article 1er (Rejeté)

Il s'agit là de la nullité des licenciements discriminatoires ou contraires aux dispositions relatives à l'égalité entre les femmes et les hommes. Une fois encore vous prévoyez un plancher d'indemnités au rabais, 6 mois, résultant d'agissements d'une particulière gravité et qui rendent impossible le maintien du salarié dans l'entreprise. Nous vous proposons donc conformément à l'amendement que nous avons discuté précédemment de porter à 12 mois de salarie le plancher d'indemnités versées aux victimes de discrimination et d'agissements graves. Le livre Ier de la première partie du code du travail, dans sa rédaction résultant de l'article 3 de l'ordonnance n° ...

Consulter

Amendement N° AS139 au texte N° 237 - Après l'article 1er (Rejeté)

Cet amendement revient à la rédaction antérieure quant à la possibilité de consulter les salariés pour valider un accord signé par des organisations ayant recueilli moins de 50 % des suffrages exprimés aux dernières élections professionnelles mais plus de 30 %. L'employeur pourra désormais être à l'initiative de la consultation des salariés à l'issue d'un délai d'un mois et les organisations syndicales non signataires de l'accord minoritaire pourront signer le protocole. De plus, vous créez décalage entre l'élargissement du champ de la négociation d'entreprise et l'entrée en vigueur de la règle de l'accord majoritaire. S'ouvre donc une période transitoire entre la ...

Consulter

Amendement N° AS205 au texte N° 4 - Article 3 (Rejeté)

En France plus de 3 millions de personnes travaillent avec un contrat précaire. Cette précarité n'a cessé d'augmenter en passant de 4 à 12 % en moins de 20 ans. Faire émerger des contrats précaires comporte des risques majeurs pour les salariés : précarisation de l'emploi, rendre difficile l'accès aux droits annexes quel salarié en CDD ira réclamer le paiement de ses heures supplémentaires dues ?), affaiblir les possibilités de défense prud'homale car si l'employeur verse demain au débat un accord collectif prévoyant la possibilité de renouveler X CDD pendant 3 ans le juge risque de rejeter la demande. La ministre du Travail dans une interview accordée à la presse avait ...

Consulter

Amendement N° 1052A au texte N° 235 - Article 19 (Rejeté)

En 2017, le réseau des CCI compte 115 établissements publics alors qu'il en comptait encore 176 en 2005, preuve que la restructuration de la carte consulaire a bien eu lieu, tout en préservant le maillage de proximité indispensable. De même, ces dernières années, le réseau consulaire a été mis à contribution dans le cadre du redressement des comptes publics. Il convient de rappeler que 670 millions d'euros ont été prélevés sur le fonds de roulement des CCI lors de la précédente mandature avec deux ponctions en 2014 et 2015. On peut d'ailleurs noter qu'aujourd'hui certaines CCI ne respectent plus le minimum de 2 mois de fonds de roulement pourtant exigé par la tutelle. En ...

Consulter

Amendement N° 425 au texte N° 106 - Article 1er (Tombe)

L'article 1er du projet de loi rétablissant la confiance dans l'action publique avait pour objet d'étendre le champ d'application de la peine complémentaire obligatoire d'inéligibilité. En commission des lois de l'Assemblée nationale, un amendement de réécriture générale de l'article a été adopté. Il reprend le dispositif contenu dans la proposition de loi visant à instaurer une obligation de casier judiciaire vierge pour les candidats à une élection locale portée par le groupe socialiste sous la précédente législature. Cette proposition de loi avait été adoptée à l'unanimité des groupes sur les bancs de l'Assemblée nationale le 1er février 2017. L'article 1er ...

Consulter

Amendement N° 225 au texte N° 369 - Article 4 (Rejeté)

Nous en venons à notre troisième proposition concernant le financement de l'expertise mes chers collègues. Et j'imagine que cette fois-ci nous arriverons à vous convaincre. Par cet amendement, nous vous proposons une dispense du cofinancement en fonction de la taille de l'entreprise et/ou du montant de la masse salariale. Cette proposition permettrait d'une part d'éviter de créer une inégalité encore plus forte entre le « petit » et le « grand » comité social et économique et d'autre part un risque de rupture d'égalité devant la loi en ce qui concerne le recours à expertise dès lors que : - le CSE d'une « grande » entreprise dispose d'un budget de fonctionnement lui ...

Consulter

Amendement N° 456 au texte N° 19 - Article 9 (Retiré)

Cet amendement vise à supprimer l'article 9 qui a pour objectif de reporter d'un an l'entrée en vigueur du prélèvement à la source initialement prévue le 1er janvier 2018. Or, il s'agit d'une réforme attendue de longue date chez nos concitoyens et votée par la majorité précédente dans son principe, ses détails et son calendrier. Il appartient aujourd'hui au Gouvernement d'assurer l'exécution de la loi puisque c'est son rôle tel que défini par l'article 21 de notre Constitution. En outre, cette réforme relève des questions fiscales et donc de la commission des finances et du ministère de l'action et des comptes publics. A ce titre, elle devrait être examinée dans le cadre ...

Consulter

Amendement N° AS348 au texte N° 269 - Article 36 (Retiré)

L'intégration dans le droit commun tarifaire des actes de télémédecine et de téléconsultation est une excellente option. Bien qu'elle ne se substitue pas à la relation entre un patient et son médecin. Pour autant, il est indispensable que cette thématique nouvelle créatrice de liens renouvelés entre la ville et l'hôpital, au service des parcours de soins et de vie des patients à domicile, associe d'emblée les professionnels hospitaliers et les fédérations hospitalières représentatives, publiques et privées. Nous pensons notamment au milieu rural où la couverture numérique est imparfaite et où il convient d'associer un maximum les professionnels hospitaliers à la ...

Consulter

Amendement N° CE92C au texte N° 235 - Article 59 (Irrecevable)

Amendement irrecevable au titre de l'article 40 de la constitution. Mme Battistel, M. Dussopt, M. Alain David, Mme Karamanli, M. Juanico

Consulter

Amendement N° 177 au texte N° 369 - Article 6 (Rejeté)

En cas de litige, vous proposez de présumer la bonne foi de l'employeur. Une sorte de certification de bonne foi dont l'employeur pourrait se prévaloir. En juillet dernier vous nous avez indiqué Madame la ministre, que ce droit à l'erreur prendrait la forme d'une sorte de rescrit social. Dans la première version de vos ordonnances vous aviez prévu un décret qui fixerait les conditions de cette présomption simple. Nous vous proposons de réintroduire ce renvoi au décret qui nous semble indispensable. Je note d'une part qu'aucune évaluation de l'impact de ce dispositif, notamment pour les finances publiques, n'a été conduite. Et d'autre part que cette question du droit à l'erreur ...

Consulter

Sous-Amendement N° 1889C à l'amendement N° 1576C au texte N° 235 - Après l'article 61 (Tombe)

L'amendement N°II-1576 vise à revenir en partie sur la réforme de la Dotation politique de la ville instaurée en 2017. Cette réforme visait à mieux cibler cette dotation sur les communes de la politique de la ville les plus en difficulté. En effet, les simulations réalisées au moment de l'examen du PLF 2017 laissaient voir que des communes classées au-delà du 350e rang DSU, seraient bénéficiaires du dispositif quand d'autres, classées dans les 100 premières, en sortiraient. Si la DPV est une dotation liée à la politique de la ville et non spécifiquement à des critères de richesse comme la DSU, cette dernière demeure un bon indicateur. Ainsi, il a été estimé à ...

Consulter

Amendement N° 451 au texte N° 19 - Après l'article 2 (Rejeté)

Nous abordons ici un sujet majeur : celui de la garantie de la la présence des administrateurs salariés dans les grandes entreprises. La présence de salariés dans les conseils d'administration des entreprises est un atout en matière sociale, mais aussi stratégique. Pour bien comprendre la teneur de ce que nous proposons, il est nécessaire de faire un bref rappel de ce qui a été précédemment fait. La loi du 14 juin 2013 a institué l'obligation, pour certaines sociétés, d'accueillir au sein de leur organe de gouvernance (conseil d'administration ou de surveillance) des représentants des salariés , administrateurs à part entière dotés d'une voix délibérative . Les ...

Consulter

Amendement N° 1479C au texte N° 235 - Article 61 (Retiré)

La loi de finances pour 2012 avait prévu que l'enveloppe du FPIC atteigne 2 % des recettes fiscales (soit un montant d'1,2 milliard d'euros) des communes et de leurs groupements en 2016. Cet objectif ambitieux permettait d'entrevoir une péréquation horizontale dynamique et à la hauteur des besoins des territoires les plus pauvres. En 2012, les ressources de ce fonds étaient fixées à 150 millions d'euros, 360 millions d'euros en 2013, 570 millions d'euros en 2014 et 780 millions d'euros en 2015. La loi de finances pour 2016 a limité la progression du fonds à 1 milliard d'euros, reportant l'objectif initial à 2017. La loi de finances pour 2017 a reconduit ce montant, reportant ...

Consulter

Amendement N° CL9 au texte N° 99 - Avant l'article 2 (Retiré)

Cet amendement vise à préciser que l'interdiction de cumuler l'indemnité de parlementaire avec toute autre rémunération publique s'étend à celles qui seraient perçues d'une entité publique lorsque le parlementaire y siègeès qualité. Il s'agit de préciser le sens de l'interdiction édictée à l'alinéa 1er de l'article 4 de l'ordonnance 58-1210. Après le premier alinéa de l'article 4 de l'ordonnance n° 58‑1210 du 13 décembre 1958 portant loi organique relative à l'indemnité des membres du Parlement, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :« Les rémunérations publiques prohibées au sens du premier alinéa incluent notamment celles qui seraient tirées de la ...

Consulter

Amendement N° 437 au texte N° 106 - Après l'article 1er (Rejeté)

L'article 1er du projet de loi avait pour objet d'étendre le champ d'application de la peine complémentaire obligatoire d'inéligibilité. Aujourd'hui, le champ d'application de la peine complémentaire obligatoire concerne les délits de concussion (article 432‑10 du code pénal), les délits de corruption passive ou de trafic d'influence commis par ou à l'égard d'une personne dépositaire de l'autorité publique (article 432‑11 du code pénal), les délits de prise illégale d'intérêts (articles 432‑12 et 432‑13 du code pénal), les délits de favoritisme (article 432‑14 du code pénal), les délits de soustraction ou détournement de biens publics commis ...

Consulter

Amendement N° AS78 au texte N° 237 - Après l'article 1er (Rejeté)

Nous en venons à un sujet majeur. Pour les licenciements nuls, et notamment ceux intervenus en violation des dispositions relatives au harcèlement sexuel, la loi ne prévoyait rien avant 2016. La Cour de cassation avait toutefois pallié ce manque en décidant, dans une jurisprudence constante, que le préjudice découlant d'un licenciement déclaré nul lorsque le/la salarié.e ne réintégrait pas l'entreprise, devait être indemnisé par une somme ne pouvant être inférieure aux salaires des six derniers mois, et ce, quels que soient le nombre de salarié.e.s dans l'entreprise et leur ancienneté (Cour de cassation, chambre sociale, 21 septembre 2005 et 6 octobre ...

Consulter

Amendement N° 199 au texte N° 369 - Article 6 (Rejeté)

Les évolutions enregistrées étaient nécessaires mais nous souhaiterions avoir quelques engagements de votre part Madame la Ministre sur des points particulièrement sensibles : - quel sera le coût du recours aux services du médecin inspecteur du travail ? - un agent de l'État peut-il se faire rémunérer ? Les services étaient gratuits avant. - la question du secret médical : lorsqu'un dossier viendra devant le conseil de prud'hommes, il sera nécessairement soumis aux principes du contradictoire et de l'audience publique. Or, dans ce cadre, des éléments de nature médicale ne pourront qu'être communiqués à la partie employeur, ce qui pose un problème. Merci de bien vouloir ...

Consulter

Amendement N° 359C au texte N° 235 - Après l'article 52 (Rejeté)

Le présent amendement, dans la lignée du contre-budget présenté par le Groupe Nouvelle gauche, propose des mesures alternatives afin d'une part, de mettre en place une réforme des APL et d'autre part, de réduire les dépenses de l'État en matière de politique du logement. Aujourd'hui, du fait du forfait pour charges et du mode de calcul des APL, près de 30 % des bénéficiaires se retrouvent avec un reste à charge de loyer nul ou quasi nul. Cette situation se retrouve essentiellement dans certaines zones détendues où le niveau des loyers demeure comparativement assez faible. Il apparaît injuste qu'il puisse exister sur le territoire national de forts écarts de reste à charge ...

Consulter

Amendement N° 1037 au texte N° 269 - Après l'article 31 (Rejeté)

Cet amendement est issu du rapport parlementaire de Gérard Sébaoun et d'Yves Censi relatif au syndrome d'épuisement professionnel ou burn out. Ainsi, cet amendement vise à faire évaluer par la commission instituée par l'article L. 176‑2 du code de la sécurité sociale le coût des pathologies psychiques liées au travail actuellement supporté par l'assurance maladie. Nous le savons, le Gouvernement le reconnait aisément, chaque année la branche AT-MP reverse une somme importante d'argent à la branche maladie pour tenir compte de la sous-déclaration des accidents du travail des maladies professionnelles. Il est donc proposé de tenir compte également du « burn out » dans le ...

Consulter

Amendement N° 59 au texte N° 124 - Article 12 (Rejeté)

Cet amendement vise à dénoncer et à remédier à une supercherie. En effet, alors que le Président de la République Emmanuel Macron s'était engagé en promettant « l'interdiction pour les parlementaires d'exercer des activités de conseil parallèlement à leur mandat, pour mettre fin aux conflits d'intérêts », non seulement le présent projet de loi organique ne procède pas à cette interdiction, mais en plus il renvoie l'application des quelques modestes mesures proposées (interdiction de poursuivre une activité de conseil qui n'a pas été commencée un an avant le début du mandat, interdiction d'exercer le contrôle d'une société de conseil si ce contrôle a été acquis ...

Consulter

Amendement N° 715 au texte N° 269 - Article 28 (Irrecevable)

Amendement irrecevable au titre de l'article 40 de la constitution. M. Aviragnet, Mme Bareigts, Mme Vainqueur-Christophe, M. Vallaud, M. Carvounas, M. Dussopt, Mme Battistel, M. Jean-Louis Bricout, Mme Biémouret, M. Juanico, M. Potier, M. Garot, M. Saulignac, Mme Untermaier, Mme Pires Beaune, Mme Manin, M. Alain David

Consulter

Amendement N° 210 au texte N° 369 - Article 6 (Rejeté)

Les dispositions relatives au travail de nuit sont sans intérêt. Plusieurs rapports récents, notamment un rapport de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (ANSES), ont montré que le travail de nuit a de graves conséquences sur la santé des salariés. Il ne s'agit pas de remettre en cause la nécessité du travail de nuit dans certains métiers, mais faut-il pour autant chercher à le développer ? À quelles difficultés le Gouvernement souhaite-t-il répondre par cette disposition ? En réalité, vous fragilisez un dispositif pour répondre aux difficultés ponctuelles de quelques commerces de proximité après 21 heures et ...

Consulter

Amendement N° 1673C au texte N° 235 - Après l'article 40 (Rejeté)

La chaleur représente près de 50 % des besoins énergétiques de la France. Elle est pourtant aujourd'hui massivement produite par des énergies fossiles importées et émettrices de gaz à effet de serre. Les objectifs énergétiques de la France sont d'atteindre 23 % en 2020 puis 32 % en 2030 d'énergies renouvelables dans notre consommation et de multiplier par 5 la quantité d'énergies renouvelables et de récupération dans les réseaux de chaleur et de froid entre 2012 et 2030. Le Fonds chaleur doit désormais apporter le soutien nécessaire à la chaleur renouvelable et de récupération pour permettre d'atteindre ces objectifs. Il a été démontré que le Fonds chaleur, géré ...

Consulter