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Intervention en hémicycle le 13/07/2017 : Renforcement du dialogue social

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Delphine Bagarry

comme disait notre collègue Jumel, mais j'aime à croire qu'il peut y régner ordre et beauté et j'ajouterais efficacité, bienveillance et respect

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Commission des affaires sociales - Intervention le 18/07/2017

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Delphine Bagarry

Un calendrier est-il prévu pour le dossier médical partagé (DMP) sous forme informatique ? Il pourrait avoir une grande importance dans la prévention, le partage des données et le décloisonnement dont vous nous avez parlé précédemment. Vous avez par ailleurs mentionné la délégation de tâches, il faudra vraisemblablement créer des actes spécifiques à déléguer aux pharmaciens, aux infirmiers, ou autres. Est-ce prévu dans votre feuille de route ?

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Commission des affaires sociales - Intervention le 25/07/2017

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Delphine Bagarry

Va-t-on s'attaquer à la limite d'âge des soixante ans pour la reconnaissance du handicap ? Cela aurait des conséquences notamment sur la convergence des aides, des formations…

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Intervention en hémicycle le 13/07/2017 : Renforcement du dialogue social

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Delphine Bagarry

Monsieur le président, madame la ministre, chers collègues, nous nous battons tous ici pour les mêmes causes, pour que l'on puisse mieux vivre au travail, pour que les relations, la santé, la prévention, le dialogue et la confiance soient renforcés, pour que la productivité et la compétitivité soient meilleures et respectueuses des hommes. Cet article contient des dispositions complémentaires pour la mise en place des trois articles précédents. Ce projet, quant à lui, n'est pas un blanc-seing donné au Gouvernement : il s'agit de faire confiance à la ministre du travail et aux organisations syndicales pour trouver des compromis et des consensus et pour ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 11/10/2017

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Delphine Bagarry

Je souhaite revenir sur les conclusions de la Cour des comptes au sujet des comptes de l'exercice 2016. Lorsque nous l'avons reçu, M. Didier Migaud, son Premier Président, nous a dit que les réformes structurelles entreprises avaient commencé de porter leurs fruits et a préconisé de les poursuivre – mais nous n'avons manifestement pas tous entendu la même chose. Plusieurs des recommandations formulées par la Cour sont d'ailleurs reprises dans le PLFSS pour 2018 : la poursuite de la recherche du retour à l'équilibre des comptes sociaux, la sincérité de l'ONDAM, le développement de la télémédecine ou encore les mesures en faveur des familles monoparentales. ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 18/10/2017

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Delphine Bagarry

Nous avons une responsabilité politique en matière de santé publique. Il est question de passer de la recommandation à l'obligation. Chacun voudra bien convenir que si l'on s'était limité à recommander de rouler à 90 kilomètres à l'heure au maximum sur les routes nationales au lieu d'y contraindre, le nombre des morts sur la route serait bien supérieur à ce qu'il est ; notre responsabilité politique est la même aujourd'hui. Pour ce qui est du remboursement des vaccins rendus obligatoires, je rappelle que la vaccination des enfants est gratuite dans les centres de protection maternelle et infantile.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 18/10/2017

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Delphine Bagarry

De nos jours, on ne veut plus faire le même métier toute sa vie, on ne veut pas s'installer au même endroit pour toujours. L'image du médecin de famille existe encore, mais les jeunes ne veulent pas en entendre parler. Il faut prendre en compte cette dimension. C'est une évolution de la société et de la vie que chacun est en droit de mener à titre individuel.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 18/10/2017

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Delphine Bagarry

L'avance des frais par les patients est un vrai frein pour l'accessibilité des soins. Je suis désolée que l'on ait fait un retour en arrière en passant de « généralisé » à « généralisable ». Cela crée des clivages entre les médecins, alors qu'il en existe déjà entre les secteurs 1 et 2. La généralisation permettrait d'éviter une médecine à deux vitesses. Je suis donc complètement opposée à l'amendement et vraiment favorable au tiers payant intégralement généralisé.

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Intervention en hémicycle le 27/10/2017 : Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2018

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Delphine Bagarry

Bien entendu, mais on peut malgré tout se réjouir de cette mesure que nous allons voter, car la solidarité nationale, c'est aussi se préoccuper de nos aînés, comme des enfants et des familles. Selon l'Observatoire des inégalités, les plus de 60 ans représentent 10 % des personnes pauvres et les plus de 80 ans 3 % de la population pauvre en France. Enfin, 1 million de seniors, soit 8 % de la population, vit avec moins de 1 000 euros par mois. En 2012, 11 % des seniors se restreignaient sur leur consommation et en 2014, ils étaient 16 % à le faire. La situation est pire dans nos campagnes où l'INSEE parle même d'extrême pauvreté chez nos seniors. Cette ...

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Intervention en hémicycle le 27/10/2017 : Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2018

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Delphine Bagarry

Décloisonnement, coordination, parcours de soins, pluridisciplinarité, flexibilité, pertinence : ces mots sonnent doux à nos oreilles – nous en parlons depuis un bon moment déjà. Des expériences, des expérimentations sont en cours, mais quel parcours du combattant pour avoir les autorisations, quelle pugnacité faut-il montrer pour convaincre l'ARS que les projets sont intéressants ! Par cet article 35, nous allons avoir de nouveaux moyens pour innover et proposer, au plus près des besoins de nos territoires. L'inventivité ne manque pas et, vous l'avez compris, madame la ministre, il faut encourager les intelligences et les bonnes volontés. Je vous ai ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 03/11/2017

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Delphine Bagarry, rapporteure pour avis

Delphine Bagarry La ministre des solidarités et de la santé vient d'expliquer que les crédits du programme 304 destinés aux points d'accueil écoute jeune (PAEJ) ne diminuent pas en 2018, puisque le projet de loi de finances reconduit le montant de ceux consommés en 2016. En conséquence, je retire mon amendement.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 03/11/2017

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Delphine Bagarry, rapporteure pour avis

Delphine Bagarry La ministre a expliqué que cet article revenait à l'objectif initial de la prime d'activité, à savoir favoriser le pouvoir d'achat des salariés les plus modestes et la reprise ou la poursuite d'une activité, même peu rémunératrice. La ministre a rappelé que l'allocation adulte handicapée restait incluse dans le calcul de la prime d'activité, parce que c'est une allocation subsidiaire, qui conserve une incitation au travail. En revanche, les rentes d'invalidité et les pensions sont des revenus fixes qui ne répondent pas à l'objectif initial de la prime, d'inciter au travail. J'émets un avis défavorable à la suppression de l'article 63.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 03/11/2017

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Delphine Bagarry, rapporteure pour avis

Delphine Bagarry La ministre nous a rappelé que la loi de 2016, qui a étendu le droit à la prime d'activité aux bénéficiaires de pensions et de rentes, l'a fait par dérogation au principe d'incitation au travail et à l'objectif initial de cette prime, d'augmenter les revenus des salariés les plus modestes. L'article 63 revient sur cette dérogation. Mon avis sur les amendements de suppression ainsi que sur l'amendement de repli est défavorable.

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Commission élargie : finances - affaires sociales - Intervention le 03/11/2017

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Delphine Bagarry, rapporteure pour avis de la commission des affaires sociales

Delphine Bagarry Mme larapporteure spéciale vous a présenté le détail des crédits alloués en 2018 à la protection et à l'insertion sociale des plus vulnérables. La Cour des comptes a constaté qu'il manquait 700 millions d'euros au budget de la mission « Solidarité, insertion et égalité des chances » voté l'an dernier pour financer les allocations que les caisses d'allocations familiales avancent pour l'État. L'Assemblée nationale en a pris acte. Elle a adopté, en première lecture, une programmation budgétaire qui ajoute près de 4 milliards d'euros en trois ans au budget de cette mission. Cette hausse traduit la volonté d'une véritable politique de lutte contre la ...

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Question orale du 08/11/2017 : Transition énergétique

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Delphine Bagarry

Madame la secrétaire d'État auprès du ministre d'État à la transition écologique et solidaire, hier, le gestionnaire du réseau de transport d'électricité – RTE – a publié un rapport mettant en lumière plusieurs scénarios d'évolution de la consommation d'électricité du parc français à l'horizon 2035. Ces travaux sont éloquents et, si j'ose dire, éclairants, notamment en ce qui concerne les grandes orientations du Gouvernement en matière de mix énergétique. La priorité du quinquennat, c'est la lutte contre le réchauffement climatique. L'urgence, c'est la lutte contre la production de CO2, provenant essentiellement du transport, de l'industrie et ...

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Question orale du 08/11/2017 : Transition énergétique

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Delphine Bagarry

Pour autant, le Gouvernement a réaffirmé sa volonté d'atteindre la barre symbolique des 50 %. Ainsi, madame la secrétaire d'État, dans quel cadre et dans quelles conditions le Gouvernement entend-il atteindre cet objectif ?

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Intervention en hémicycle le 13/11/2017 : Projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2018 à 2022 - projet de loi de finances pour 2018

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Delphine Bagarry, rapporteure pour avis de la commission des affaires sociales

Delphine Bagarry Madame la présidente, madame la ministre, madame la secrétaire d'État, madame la présidente de commission des affaires sociales, madame la rapporteure spéciale, mes chers collègues, la hausse programmée de 4 milliards d'euros en trois ans de la mission « Solidarité, insertion et égalité des chances » traduit la volonté d'une véritable politique de lutte contre la pauvreté, une politique de la protection des familles vulnérables, une politique de la prévention des risques d'exclusion, une politique qui a l'ambition de construire une société toujours plus inclusive, toujours plus solidaire et toujours plus attentionnée envers plus précaires, une ...

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Intervention en hémicycle le 13/11/2017 : Projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2018 à 2022 - projet de loi de finances pour 2018

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Delphine Bagarry, rapporteure pour avis de la commission des affaires sociales

Delphine Bagarry Ce changement de position est à l'origine de bon nombre de malaises. Vous nous avez annoncés en commission élargie, madame Buzyn, que l'inspection générale des affaires sociales – l'IGAS – et l'Assemblée des départements de France avaient pour mission de faire des propositions afin que l'État prenne toute sa part dans le dispositif d'évaluation et de mise à l'abri avant la reconnaissance de la minorité. Vous nous avez confirmé qu'il était prévu que l'État s'engage davantage sur le plan financier auprès des départements. Mais, je l'ai dit en préambule, le problème soulevé n'est pas uniquement financier : l'État a une responsabilité morale. J'ai ...

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Intervention en hémicycle le 13/11/2017 : Projet de loi de programmation des finances publiques pour les années 2018 à 2022 - projet de loi de finances pour 2018

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Delphine Bagarry, rapporteure pour avis de la commission des affaires sociales

Delphine Bagarry Je voudrais lever toute confusion. Il ne s'agit pas d'interdire aux bénéficiaires d'une rente d'invalidité ou d'une pension pour accident du travail ou maladie professionnelle d'accéder à la prime d'activité ; ce n'est pas ce qui est écrit dans le texte. La clarification demandée vise à éviter le risque de cumul lors de la prise en compte dérogatoire de revenus qui ne seraient pas liés à une activité professionnelle. Une telle situation détournerait la prime d'activité de sa fonction initiale, qui consiste à inciter les gens à travailler plus et à vivre mieux des revenus de leur activité.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 15/11/2017

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Delphine Bagarry

Rapporteure pour avis de la mission « Solidarité, insertion et égalité des chances », j'ai notamment consacré mon rapport à la question des mineurs étrangers non accompagnés. À cette occasion, j'ai rencontré Mme Geneviève Avenard, défenseure des enfants. Vous avez également émis un avis, dont j'approuve les préconisations. Vous recommandez notamment une moindre utilisation des tests médicaux en matière de minorité. Pour ma part, j'estime qu'il faut simplement cesser de les utiliser dans ce but.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 15/11/2017

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Delphine Bagarry

Vous recommandez également la délivrance systématique d'un titre de séjour, l'harmonisation des prises en charge, l'évaluation consciencieuse de l'état de santé physique et psychique, un suivi éducatif de qualité – qui ne peut pas se faire à bas coût – et l'instauration d'une présomption de minorité. J'ai également noté que vous n'êtes pas opposé à la possibilité d'hébergement bénévole par un tiers, pourtant décriée par l'Union nationale interfédérale des oeuvres et organismes privés sanitaires et sociaux (UNIOPSS). Pouvez-vous revenir sur ce point ? Vous déconseillez en revanche de confier la mise à l'abri et l'évaluation à un même ...

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Intervention en hémicycle le 21/11/2017 : Renforcement du dialogue social

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Delphine Bagarry

Je me dois de réagir. Il est question de dialogue, et je crois effectivement que nous devons le respecter. Cette assemblée est le lieu du dialogue et nous sommes tout à fait prêts à discuter du dialogue social.

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Intervention en hémicycle le 21/11/2017 : Renforcement du dialogue social

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Delphine Bagarry

Nous sommes tous d'accord là-dessus. Ce lieu est respectable, nous pouvons nous y exprimer et il faut que cela continue. J'ai essayé de prendre un peu de recul sur ce texte. N'étant pas une spécialiste de l'emploi, je me dis que deux tendances s'affrontent : l'optimisme et le pessimisme ; le verre à moitié plein et le verre à moitié vide. Pour notre part, sans angélisme, nous essayons de faire confiance au dialogue, justement, à la capacité des hommes à se parler. Voilà ce que nous défendons, ce que nous espérons faire vivre. Le code du travail est notre garde-fou, il fixe des limites ; telle est la loi. Nous la respecterons tous et nous serons tous là – ...

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Intervention en hémicycle le 23/11/2017 : Renforcement du dialogue social

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Delphine Bagarry

Les premiers médecins avertis des risques psychosociaux au travail sont les médecins traitants et les médecins de famille dont je fais partie. Mon rôle est d'avertir le médecin du travail et surtout pas de prescrire des psychotropes en premier lieu. Si l'on établit des statistiques sur la prescription de psychotropes chez les salariés, il faudrait aussi s'intéresser aux entrepreneurs. D'après mon expérience, la pression au travail sur les salariés n'est pas seule en cause. La pression est constante et générale ; elle concerne tout le monde – y compris les enfants. Il faut donc recadrer le débat. On ne pourra pas savoir, compte tenu du secret médical, qui ...

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Intervention en hémicycle le 23/11/2017 : Renforcement du dialogue social

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Delphine Bagarry

Peut-être arriverons-nous par cette mesure à éviter les procédures trop longues et, du coup, à aller mieux. À la fin, tout le monde sera gagnant et on consommera moins de psychotropes !

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Intervention en hémicycle le 23/11/2017 : Renforcement du dialogue social

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Delphine Bagarry

Je voudrais revenir sur les risques psychosociaux et les prescriptions de psychotropes. On s'inscrit bien là dans le cadre d'un licenciement abusif, qui, comme l'a dit la ministre, ne porte pas atteinte à l'intégrité physique. L'objectif de la barémisation n'est pas d'être contre ; il est, ainsi que nous l'avons répété, de limiter le nombre de procédures. En ce qui me concerne, je vois des gens, y compris du côté des salariés, qui sont désemparés par des procédures trop longues.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 27/11/2017

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Delphine Bagarry

Je pense comme le rapporteur que la démocratie sanitaire irrigue l'ensemble des actions conduites depuis la dernière stratégie nationale de santé. Néanmoins, préciser les choses comme le propose cet amendement me paraît une bonne chose.

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Intervention en hémicycle le 29/11/2017 : Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2018

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Delphine Bagarry

Je vous propose un peu de poésie. Corynebacterium diphtheriae, clostridium tetani, poliovirus, morbillivirus, rubivirus, myxovirus parotidis, haemophilus influenzae de type b, bordetella pertussis, hepadnaviridae B, streptococcus pneumoniae, neisseria meningitidis : autant de dénominations que nous souhaitons oublier, aussi poétiques soient-elles.

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Intervention en hémicycle le 29/11/2017 : Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2018

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Delphine Bagarry

Pourtant, la vaccination est un sujet de mémoire, de mémoire immunitaire. Et je fais le voeu que la nouvelle obligation vaccinale relègue ces jolis substantifs et la description des dégâts dont ils sont responsables dans les livres d'histoire. Je fais aussi le voeu que notre pays prenne sa part de responsabilité dans la disparition de ces maladies dans le monde. L'obligation prévue est un premier pas car nous contribuerons à empêcher leur propagation. Il faudra toutefois aller au-delà et aider, bien sûr, les populations les plus pauvres à accéder à ces vaccins. Nous pourrons être fiers d'avoir participé à cette mesure de santé publique, mesure de ...

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Intervention en hémicycle le 29/11/2017 : Projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2018

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Delphine Bagarry

Parmi les professionnels impliqués dans les innovations en santé, les professions médicales et celles des auxiliaires médicaux viennent immédiatement à l'esprit. Mais une profession est souvent oubliée : le pharmacien. Mon amendement vise à ce que la loi soit plus explicite concernant ces professionnels, eu égard, notamment, à leur rôle dans la pharmacie clinique. Il est nécessaire d'impliquer pharmaciennes et pharmaciens dans les expérimentations des parcours de soins pour améliorer la pertinence et l'efficience des traitements et pour lutter contre l'iatrogénie, que ce soit en ville, à l'hôpital ou dans les réseaux ville-hôpital. Sachez qu'en ma ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 05/12/2017

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Delphine Bagarry

Je m'étonne que nous ne disposions d'aucune évaluation précise de la manière dont la loi a été appliquée par les départements, notamment en ce qui concerne l'APA et la revalorisation des plans d'aides. N'a-t-on pas moyen de savoir, par exemple si cette revalorisation a davantage profité aux plus dépendants, c'est-à-dire les GIR1 et les GIR2, ou aux moins dépendants ? Le décret d'application relatif aux conseils départementaux de la citoyenneté et de l'autonomie (CDCA) prévoit qu'ils seront composés de quatre-vingt-trois membres. Or c'est un nombre difficile à atteindre dans un petit département comme les Alpes-de-Haute-Provence. Ne pourrait-on envisager ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 06/12/2017

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Delphine Bagarry

Vous donnez l'impression d'avoir envie, madame Bonnet-Galzy, ce qui nous donne envie de vous faire confiance. Je viens d'un petit département, les Alpes de Haute-Provence, où les seuls acteurs de la prévention sanitaire sont la délégation territoriale de l'ARS et le comité départemental d'éducation pour la santé (CODES). Or, la formation des professionnels de santé aux nouveaux outils de communication donne souvent l'impression d'être en décalage avec la vie quotidienne des populations, en particulier en milieu rural. Ces informations m'ont notamment été transmises par le CODES : nous n'encourageons pas assez la participation des professionnels et des ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 06/12/2017

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Delphine Bagarry

J'observe, monsieur le directeur général, que les méthodes utilisées pour accompagner les demandeurs d'emploi créant leur propre activité sont de plus en plus efficaces. Ainsi l'outil Activ'Créa permet-t-il aux intéressés d'explorer sérieusement cette piste, tandis que le dispositif d'aide à la reprise ou à la création d'entreprise (ARCE) pour les demandeurs d'emploi percevant l'aide de retour à l'emploi, met à leur disposition un capital pour la construction de leur projet professionnel. Je m'interroge toutefois au sujet des coopérations que vos agences ont avec les chambres consulaires, qui conduisent elles aussi des politiques consacrées aux ...

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Intervention en hémicycle le 01/02/2018 : Reconnaissance comme maladies professionnelles des pathologies psychiques résultant de l'épuisement professionnel

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Delphine Bagarry

Nous devons nous interroger sur la façon dont nous devons lutter au mieux contre cet incendie du corps et de l'esprit. La disposition proposée par notre collègue François Ruffin ne nous semble pas entièrement satisfaisante car elle ne répond pas efficacement à cet enjeu. Toutefois, cette proposition de loi nous interroge sur ce drame social. Le nombre de personnes victimes de burn-out augmente et nous n'avons pas encore réussi à répondre collectivement à cette difficulté. Lors de la législature précédente, le sujet est revenu à maintes reprises dans les débats et a même fait l'objet d'une mission d'information. Grande avancée : en 2015, le législateur ...

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Question orale du 06/02/2018 : Plan grand froid

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Delphine Bagarry

Monsieur le ministre de la cohésion des territoires, avec le Premier ministre, vous étiez hier soir au centre d'appel du Samu social.

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Question orale du 06/02/2018 : Plan grand froid

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Delphine Bagarry

Vous avez accompagné une équipe en maraude et rencontré des familles accueillies en hébergement d'urgence. Hier, le plan grand froid a été déclenché dans vingt-deux départements pour l'hébergement des sans-abri.

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Question orale du 06/02/2018 : Plan grand froid

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Delphine Bagarry

Vingt-deux départements, ce sont mille places supplémentaires qui seront ouvertes dès cette semaine. Monsieur le ministre, la responsabilité de l'État est de garantir un toit et un repas, chaud si possible, à toute personne vivant sur le territoire français. C'est un engagement fort que nous avons pris lors de la campagne qui nous a portés aux responsabilités. Cet engagement, nous devons le concrétiser : il y va de notre devoir politique, …

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Question orale du 06/02/2018 : Plan grand froid

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Delphine Bagarry

… de notre devoir d'humaniste, de notre devoir d'honorer notre devise. La fraternité n'est pas un simple concept inscrit sur le fronton de nos maisons communes. Ce travail, nous le commençons : avant même le plan grand froid, 13 181 places hivernales étaient ouvertes depuis le déclenchement du plan hivernal, le 1er novembre. Au total, 145 000 places d'hébergement d'urgence sont financées par l'État, soit 10 000 de plus que l'an dernier. Le budget que nous y consacrons a augmenté de 12 % par rapport à 2017. Toutefois, c'est encore insuffisant, car notre devoir est non seulement de pérenniser des places d'accueil, mais aussi d'accompagner ces personnes ...

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Intervention en hémicycle le 15/02/2018 : Bonne application du régime d'asile européen

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Delphine Bagarry

Je reprends une question posée par le rapporteur : pourquoi sommes-nous là aujourd'hui ? De quoi parlons-nous ? Il est question de combler un vide juridique ; il revient au législateur de rendre une loi opérationnelle. À cette fin, un certain nombre critères du risque non négligeable de fuite ont été définis lors de la première lecture du présent texte. Cependant, l'article 1ertel qu'il a été modifié par le Sénat prévoit désormais qu'un être humain puisse être privé de liberté pour le seul fait d'être coupable d'une automutilation. Car, quand on en vient à se brûler volontairement la pulpe des doigts, il s'agit bien d'une automutilation. Quand on ...

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Intervention en hémicycle le 15/02/2018 : Bonne application du régime d'asile européen

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Delphine Bagarry

Le Sénat a modifié l'article 2 pour abaisser à sept jours le délai de recours des personnes dites dublinées pour contester leur expulsion. Mon questionnement de législatrice est le suivant : sept jours – à la place de quinze jours – sont-ils suffisants pour qu'ils puissent faire valoir leurs droits ? Je considère que ce n'est pas un délai raisonnable pour contacter un avocat et se lancer dans une procédure juridictionnelle, surtout dans un pays où, le plus souvent, la langue est étrangère au requérant. Nous sommes tous attachés au droit d'information, à la possibilité pour chacun de disposer de la capacité de faire valoir ses droits. C'est pourquoi je ...

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Intervention en hémicycle le 15/02/2018 : Bonne application du régime d'asile européen

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Delphine Bagarry

Ce texte pose des questions beaucoup plus larges que celle du flou juridique. Comme il est extrêmement durci, on peut se demander s'il ne poussera pas les étrangers relevant du règlement Dublin à rester clandestins et à ne pas faire de demande d'asile. Un autre de ses effets pervers serait que les pays d'arrivée des étrangers ne veuillent plus prendre les empreintes digitales ni enregistrer les passages, et n'instruisent plus les demandes d'asile de peur d'en avoir trop à traiter. Chacun a évoqué le dysfonctionnement du règlement Dublin III, qui n'est plus appliqué, car il est non applicable et non pertinent. Là réside le fond du problème. Au-delà du sujet ...

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Commission des affaires culturelles et de l'éducation - Intervention le 07/02/2018

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Delphine Bagarry

Ma question, qui s'adresse à M. Blanquer, se veut gentiment provocatrice. La semaine de quatre jours et demi avait permis à la communauté enseignante, aux municipalités, aux associations d'éducation populaire, aux associations sportives et aux parents de réfléchir ensemble aux opportunités qu'offrait la mise en place des nouveaux rythmes scolaires en matière d'éducation. La prise en compte d'un temps extra-scolaire a été considérée dans nos communes comme une véritable chance pour l'ouverture aux arts, à la culture, au sport, et a été l'occasion de réaffirmer la place d'autres éducateurs pour l'éducation à la citoyenneté, l'ouverture au monde et ...

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Intervention en hémicycle le 08/03/2018 : Lutte contre la précarité professionnelle des femmes

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Delphine Bagarry

Certes, mais je continue de penser que nous ne devons pas l'aborder sous ce prisme-là.

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Intervention en hémicycle le 08/03/2018 : Lutte contre la précarité professionnelle des femmes

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Delphine Bagarry

Nous sommes amenés à nous prononcer sur une proposition de loi qui, par son titre, se donne l'ambition de lutter contre la précarité professionnelle des femmes. Mais les dispositions de ce texte ont pour véritable objet de s'attaquer au travail à temps partiel, considérant, en partie, que celui-ci est imposé aux femmes par les entreprises et le monde du travail. Mme la rapporteure, nous partageons totalement le combat pour l'égalité réelle entre les femmes et les hommes mais concernant cette proposition de loi, nous sommes particulièrement perplexes. Les femmes sont effectivement bien plus concernées que les hommes par le travail à temps partiel. À la ...

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