1,7 milliard d'euros ! C'est fait ! Il faut suivre ! Nous n'avons pas attendu M. Thiériot !
Voilà quelqu'un qui parle clair !
C'est laborieux, c'est de la bouillie !
Et c'est Poutine qui tiendrait le crayon !
Elle vient surtout de prouver que vous n'avez aucune stature présidentielle !
Crypto-bisounours !
Après, il ferme la door !
Très juste !
C'est laborieux !
Même sur un sujet comme celui-ci, vous sombrez dans la caricature !
C'est un texte d'apparence technique que nous examinons, mais il est au fond très politique, dans le bon sens du terme. Je tiens tout d'abord à remercier le rapporteur Forissier, ainsi que son excellent suppléant d'aujourd'hui. Son rapport éclaire la représentation nationale sur l'étendue et la profondeur des relations entre la France et l'Argentine, ainsi que sur les conséquences économiques très concrètes qu'entraînera l'application de cette nouvelle convention. Le projet de loi reflète et concrétise notre volonté d'approfondir, d'améliorer et de diversifier un partenariat clé pour notre pays et pour la relation entre nos deux continents. L'Argentine est ...
Ça rame !
Nommons les choses !
Voilà une position claire !
Votez la proposition de résolution !
Votez la proposition de résolution !
C'est décevant !
Ce n'est pas vrai !
Quel respect pour nos amendements ! Belle tartufferie !
Je souhaite revenir à l'amendement du Gouvernement que nous venons d'adopter, car il traite d'un sujet essentiel. Tout le monde est guidé par des bonnes intentions, mais il était essentiel de lever toute ambiguïté et de clarifier les choses en distinguant le consentement à l'admission en qualité de pupille de l'État du consentement à l'adoption. Comme l'ont rappelé M. le secrétaire d'État et Mme la rapporteure, il n'y avait évidemment pas de volonté de supprimer le consentement à l'adoption des parents biologiques – ne faisons pas de faux procès. Même si le texte prévoyait déjà de nombreuses améliorations, il s'agissait de bien préciser les choses en ...
Vous vous y croyez déjà !
Oui, ils sont sur nos bancs !
Eh oui, c'est le discours de l'impuissance !
C'est bien le Président de la République française qui a défendu cette cause auprès des instances internationales – Union européenne, Banque mondiale et Fonds monétaire international (FMI). Près de 120 millions de doses ont été partagées – M. le secrétaire d'État l'a rappelé –, ce qui fait de la France le leader en la matière. À moyen terme, l'enjeu est celui du financement de la production de vaccins. Je vous rappelle, madame Autain – vous le savez sûrement puisque vous siégez à la commission des affaires étrangères, mais peut-être étiez-vous absente – que la France a été le premier financeur d'industries de vaccination en Afrique, ...
Or la France est le pays qui partage le plus de doses de vaccin.
À long terme, la levée des brevets est évidemment un enjeu majeur. La France est d'ailleurs particulièrement combative, notamment auprès de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), pour défendre cette cause – le Président de la République et les ministres s'y emploient. À court terme, toutefois, ce n'est pas la levée des brevets que demandent nos partenaires africains : ils ont surtout besoin d'un partage des doses.
Avec 120 millions de doses !
C'est ce que nous avons fait !
Eh oui ! Pas moins de 120 millions de doses partagées !
Parce que vous, vous ne le politisez pas, peut-être ?
C'est bien pour gouverner !
N'importe quoi ! Le Royaume-Uni est-il un État fédéral ? Le Portugal est-il un État fédéral ?
Parole d'experts !