1,7 milliard d'euros ! C'est fait ! Il faut suivre ! Nous n'avons pas attendu M. Thiériot !
Voilà quelqu'un qui parle clair !
C'est laborieux, c'est de la bouillie !
Et c'est Poutine qui tiendrait le crayon !
Elle vient surtout de prouver que vous n'avez aucune stature présidentielle !
Crypto-bisounours !
Je veux tout d'abord saluer l'action menée par le Gouvernement pour éviter cette guerre inutile, injuste et illégitime. Je fais partie, avec d'autres députés, du réseau parlementaire sur la Banque mondiale et le Fonds monétaire international (FMI). Nous avons demandé, en amont du G7 finances, que soit maximisé le déploiement rapide des ressources du FMI à travers l'accord de confirmation, avec la possibilité d'aller au-delà de la somme de 2,2 milliards d'euros, et que soient mobilisés les financements d'urgence du FMI à travers l'instrument de financement rapide d'un montant équivalent à la quote-part de l'Ukraine. Que compte faire la France auprès du FMI ...
Après, il ferme la door !
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Très juste !
C'est laborieux !
Même sur un sujet comme celui-ci, vous sombrez dans la caricature !
Quelle est la question ?
Ils n'ont honte de rien !
Vivement Mme Pécresse, alors !
Un de perdu, un de retrouvé !
Eh oui, c'est ça la réalité !
Et le programme de Fillon, il n'a jamais existé ?
Ça s'appelle une ambition !
Et vous, qu'avez-vous fait ?
Et Christian Jacob, où est-il ?
et pour réaffirmer votre ambition pour la filière porcine française.
…comprenant des aides d'urgence, mais surtout des mesures permettant une application stricte des lois EGALIM. Celles-ci étaient un engagement fort du Président Emmanuel Macron ainsi que le seul moyen de garantir notre souveraineté alimentaire et de faire en sorte que les agriculteurs soient payés au juste prix : c'est la mère des batailles, sortir de la loi du plus fort, de la loi du prix le plus bas. Monsieur le ministre, nous comptons sur vous pour détailler le plan d'urgence
et a fait des agriculteurs la variable d'ajustement de la guerre des prix. La conjugaison de tous ces éléments place les éleveurs dans une situation financière insoutenable, ce qui risque d'ailleurs d'entraîner la faillite de toute la filière. Derrière ce constat, il y a des femmes et des hommes qui se lèvent tôt, qui ont le goût du travail bien fait, qui nous nourrissent. Il y a des éleveurs à quelques mois de la retraite, qui voient leur rêve de transmission remis en cause. Il y a des jeunes, qui voient leurs projets d'installation paralysés. Monsieur le ministre de l'agriculture et de l'alimentation, vous êtes récemment venu visiter un élevage dans le ...
Les éleveurs de porcs, particulièrement en Bretagne, se trouvent dans des situations intenables : à la flambée des charges et des prix de l'alimentation, qui ont augmenté de 30 % en un an, s'ajoute une baisse du prix payé au producteur et un engorgement du marché européen. Une majorité des exploitations perd désormais, chaque mois, des milliers d'euros. Près d'un éleveur sur trois pourrait mettre la clé sous la porte d'ici un an. Cette crise, mes chers collègues, vient de loin. Elle porte aussi le nom de ceux qui tentent d'organiser l'échec des lois pour l'équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine, ...
J'associe à ma question mes collègues députés bretons de la majorité, notamment Mme Melchior et MM. Bothorel, Kerlogot, Le Gac, Joncour, ainsi que le président Ferrand.
C'est un texte d'apparence technique que nous examinons, mais il est au fond très politique, dans le bon sens du terme. Je tiens tout d'abord à remercier le rapporteur Forissier, ainsi que son excellent suppléant d'aujourd'hui. Son rapport éclaire la représentation nationale sur l'étendue et la profondeur des relations entre la France et l'Argentine, ainsi que sur les conséquences économiques très concrètes qu'entraînera l'application de cette nouvelle convention. Le projet de loi reflète et concrétise notre volonté d'approfondir, d'améliorer et de diversifier un partenariat clé pour notre pays et pour la relation entre nos deux continents. L'Argentine est ...
Ça rame !
Nommons les choses !